• CANDY

    (CANDY)

    19 AOUT 1970 

     

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    Réalisation Christian Marquand Scénario Buck Henry D'après le roman de Mason Hoffenberg et Terry Southern Directeur de la photographie Giuseppe Rotunno Musique Dave Grusin, The Byrds, Steppenwolf Production Corona / Dear Film Produzione / American Broadcasting Company / Selmur Productions Distribution Carlotta Films Durée114 minutes
    Candy Ewa Aulin Grindl Marlon Brando McPhisto Richard Burton Dr Krankheit James Coburn Emmanuel Ringo Starr  Le bossu Charles Aznavour Dr Arnold Dunlap John Huston

    Candy, délicieuse ingénue à la voix sucrée, décide de quitter son lycée et sa banlieue tranquille pour se lancer dans une quête philosophique sur le sens de la vie. D’un hôpital aux allures d’asile jusqu'au New York hippie, Candy traversera les USA et croisera les personnages les plus stupéfiants, qui ont tous derrière la tête des envies bien peu philosophiques : un poète maudit dans le vent venu faire une conférence à l'université, un jardinier simplet qui s'avère chef d'une bande de terroristes, deux médecins pervers, un militaire qui n'a pas vu de femme depuis des années, un cambrioleur bossu, un gourou itinérant bidon et beaucoup d’autres tordus encore. Sa quête se termine dans un lieu imaginaire et la mènera jusqu'aux étoiles.

    Par amitié pour Christian MARQUAND, Marlon BRANDO accepte un rôle de Gourou dans un OVNI cinématographique : « Candy ». Voilà un film qui fleure bon la pop, le psychadélisme et surtout la bonne herbe que le réalisateur semble avoir consommé plus que de raison. On est très loin de « sur les quais » pour Un BRANDO qui cabotine à mort dans un rôle qui en a surpris plus d’un. Espérons que cette bande de potes, le casting est invraisemblable, s’est bien amusée sur un tournage qu’on devine bien chaud. Comme tous les films mode de cette époque, il a considérablement mal vieilli, mais est étonnamment bien réalisé, le budget semblait conséquent. Un joli déluge de couleurs. Pour BRANDO qui meurt gelé à la fin du film, sa carrière semble l’être également. Si le film a correctement marché aux USA (16 millions de dollars, rien de transcendant), le public Français réserve un accueil pour le moins glacial à cette comédie qui plus est sortie en plein été, ce qui était un peu une exécution à l’époque.    

     

     

    ENTREES France TOUTES EXPLOITATIONS

    150 000

    (estimation)

    ENTREES Paris 1ère EXPLOITATION

    34 280

    ENTREES Paris TOUTES EXPLOITATIONS

     

    ENTREES Paris 1ère SEMAINE

    15 780

    NOMBRE DE SEMAINES PARIS 1ère exploitation

    4

    NOMBRE DE SALLES  Paris semaine de sortie

    3

    Moyenne entrées par salles 1ère semaine

    5 260

    1er JOUR Paris

     

    COTE DU SUCCES

    *

     


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