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FAYE DUNAWAY BOX OFFICE
France
PARIS
Espagne
Allemagne
Italie
BO US
Que vienne la nuit
Hurry Sundown1967
215 254
50 034
1 618 275
9,0
Détraqués,les
The HappeningP
1967
153 987
42 794
1 238 505
Bonnie et Clyde
Bonnie and Clyde1968
1 892 575
660 552
2 130 426
50,7
L'affaire Thomas Crown
The Thomas Crown Affair1968
810 065
218 830
1 470 669
N ° 56
N° 16
13.75 M(6.2 R)
Temps des amants, le
Amanti1969
33 766
935 079
The extraordinary seaman (inédit)
1969
Arrangement,l'
The Arrangement1970
562 672
238 333
1 782 373
4 R
Little big man
1971
1 676 553
748 968
1 348 715
31,5
Portrait d'une enfant déchue
Puzzle of a Downfall Child1972
67 715
51 245
340 886
Maison sous les arbres,la
1971
350 204
110 425
739 060
Doc Holliday
1971
183 433
41 520
2,25 R
Or noir de l'Oklahoma,l'
Oklahoma Crude1973
96 832
20 403
452 195
2,5 R
Trois mousquetaires,les
The Three MusketeersP
1973
629 070
210 505
1 326 122
10,7 R
Chinatown
1974
1 822 631
790 083
1 829 559
2 300 000
29,2
On l' appelait Milady
The Four MusketeersP
1976
142 605
75 966
621 783
8,7 R
La tour infernale
The Towering InfernoP
1975
4 466 376
1 079 745
4 505 426
3 000 000
116,0
Les 3 jours du Condor
Three Days of the Condor1975
1 398 696
611 215
1 433 732
45,0
Network
1977
421 460
208 381
764 064
23,6
Voyage des damnés,le
Voyage of the Damned1977
51 839
34 494
686 194
1,75 R
Yeux de Laura Mars, les
Eyes of Laura Mars1979
1 018 599
310 046
607 381
9 R
Champion, Le
The Champ1979
554 025
168 137
30,4
De plein fouet
The First Deadly SinP
1982
28 904
19 299
Maman très chère
Mommie Dearest1982
43 554
32 348
47 767
19,0
The wicked Lady (inédit)
1983
117 945
0,5
Ordeal by innocence (inédit)
1985
165 339
Supergirl
1984
255 200
86 142
809 461
14,2
Barfly
1987
507 607
218 841
193 469
3,2
Midnight crossing (inédit)
1988
1,3
La partita (inédit )
1988
78 946
Burning secret
Burning Secret1989
130 518
92 450
Clair (inédit)
1989
Bandini
1989
95 164
38 370
28 696
Servante écarlate,la
The Handmaid's Tale1990
86 590
48 819
31 590
4,9
The Two Jakes
P
1991
118 119
56 375
8 941
27 156
10,0
Scorchers (inédit)
1991
93 426
Lahav Hatzui (inédit)
1992
Arizona Dream
1993
968 419
375 954
24 614
0,1
The temp (inédit)
1993
6,4
Don Juan de Marco
Don Juan Demarco1995
600 757
192 705
761 175
1 600 174
22,0
Drunks (inédit)
1995
Dunston panique au palace
Dunston Checks In1996
103 937
297 144
4,0
Albino alligator
1997
53 566
22 668
14 566
0,3
Héritage de la haine,l'
The Chamber1997
42 502
22 203
286 377
6,1
The twilght of the golds (inédit)
1996
En brazos de la mujer madura (inédit)
1997
92 153
Love lies bleeding (inédit)
1999
Thomas Crown
P
1999
743 159
231 473
69,3
Jeanne d'Arc
P
1999
2 991 860
610 348
194 829
14,2
The yards
P
2000
393 149
192 768
vidéo
0,9
Stanley's gig (inédit)
2000
Mid-century (inédit)
2002
Changing hearts (inédit)
2002
Lois de l'attraction,les
The Rules of AttractionP
2003
201 351
75 698
85 222
6,5
P = Participation
Merci à Didier pour les chiffres inédits.
Nous avons décidé de ne pas publier la liste des films après 2003, ceux-ci étant des direct-to-video qui ne nous semblent respectueux de l'actrice.
Quand j'étais petit, j'entendais souvent l'expression au sujet de quelques bimbos ; "Elle se prend pour Faye DUNAWAY celle là !". Oui, Faye DUNAWAY était un sex symbol, sauf que pour nous les jeunes c'était une sorte d'inconnue étant donné que ses films passaient rarement à la télévision et n'étaient pas vraiment tout public.
Cette beauté un peu froide ( avis largement contesté par Marcello MASTROIANNI qui la trouvait au contraire très chaude) a connu un début de carrière pratiquement parfait. Le sans faute. Révélée par "Bonnie et Clyde", elle campe avec Warren Beatty un couple de gangster très glamour, en tout cas bien plus glamour que les deux vrais gangsters qui étaient pas des premeirs prix de beauté. Elle relègue ainsi au placard des actrices comme Audrey HEPBURN un peu trop sages et attire les meilleurs réalisateurs. Elle aligne les grands rôles comme dans "L'affaire Thomas Crown", 'L'arrangement" et "Little Big Man". Mais déjà son caractère quelque peu trempé l'éloigne des grosses productions. Elle doit déja jouer les guest stars de luxe dans "Les 3 mousquetaires" ou "La tour infernale". Elle est de retour au premier plan avec "Les 3 jours du Condor" puis "Network" où elle obtient l'Oscar. Bien loin d' être relancée au box office elle végète depuis dans des séries B, où obtient des rôles à la télévision. elle reste cependant une guest star appréciée mais on peut quand même évoquer une carrière qui aurait pu être plus flamboyante.
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Tags : FAYE DUNAWAY BOX OFFICE, BONNIE ET CLYDE BOX OFFICE
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Commentaires
17PierreMardi 12 Septembre 2017 à 22:09Bonsoir again Renaud,
je vais tout lire mais j ai juste une question sur The extraordinairy Seaman , que s est il passe pour que le film reste inédit.
apres Bonnie et Crown, et une période européenne un peu strange .
je ne me souviens de rien sur ce film alors que je garde en mémoire l abandon d un film avec Rochefort et Deneuve et si ma mémoire reste bonne sur une histoire liée à Don guichotte.
dans Supergirl le seul truc qui me reste c est la doublure française de la copine de Faye Dunaway .
Micheline Dax
A +
16adda chentoufMercredi 29 Mai 2013 à 03:09Aprés " network" de Lumet qui lui avait valu l'oscar, la carrière de cette brillante actrice a curieusement connu une chute progressive jusqu'à tomber carrément dans la pure série B indigne de son rang. On peut , en effet , considérer "les yeux de laura mars " comme son ultime bon film ( et succés au BO) tant les années 80 ont été peu reluisantes pour elle . Son role de malade clouée dans un lit d'hopital dans le navrant " de plein fouet" ( Sinatra y est également pitoyable !) résume à lui seul le début de cette décadence imméritée d'une des plus grandes stars américaines des années 1970. On remarquera qu'une fois de plus, les résultats de F.Dunaway ont été meilleurs en Espagne qu'en France. Sachez enfin qu'en Algérie " les yeux de laura mars" ( ou elle tient le premier role) avait trés bien marché en salles en 1983 , tandis que " network" a été , malgré ses qualités , un échec en 1979. Et curieusement , " le temps des amants" distribué seulement en 1977 avait emporté l'adhésion du public algérien en restant plusieurs semaines à l'affiche , alors qu'en France ce fut un four commercial !
15bertrandMercredi 29 Mai 2013 à 03:09Dunaway c'est quand même formidable, elle est quand même très appréciée des cinéphiles en france de par cette filmo incroyable à sa grande époque 67-80, d'ailleurs cannes lui a récemment rendu hommage...c'est aussi le ciné qui a changé à hollywood avec ces blockbusters qui ont liquidé un ciné plus "adulte" mais néanmoins accessible auquel elle participait.C'est là qu'hollywood a été envahi par des executifs issus des écoles de commerce qui pigent couic au cinoche et ne pensent que commerce, ça donne une julia roberts en soi fantastique mais reine du nanar et du vide intersidéral de notre époque... "mange , prie , aime et ...barre-toi!!!!"
14adda chentoufMercredi 29 Mai 2013 à 03:09C'est vrai , cher Bertrand, que le cinéma US et le cinéma tout court ne sont plus ce qu'ils étaient , et ce sans la moindre connotation nostalgique. Voyez le ciné français d'aujourd'hui: Dany Boon acteur le mieux payé avec 3,5 millions d'euros et ... Catherine Frot actrice la mieux payée . C'est vraiment consternant! ah! la grande époque ou les Belmondo , Delon, Gabin , Ventura, De funes, Montand, p.Richard, Marais , Girardot et Signoret rivalisaient au box-office international avec leurs homologues américains. Et quid du cinéma italien qui a tenu pendant plusieurs décennies la dragée haute à l'ogre hollywoodien avec ses fabuleux cinéastes et ses prodigieux comédiens! Pour moi le cinéma s'est arreté en 1980 qui a coincidé justement avec le début des blockbusters qui ont ( négativement) changé la face et la tendance du 7eme art. Quand je revois aujourd'hui des oeuvres comme " délivrance", "l'autre", "harold et maud", "5 pièces faciles", " l'épouvantail" ou " un été 42" je ne peux m'empecher de regretter l'époque du grand cinéma américain des années 70 qui a bercé notre adolescence et notre prime jeunesse . "Star wars" a décidemment causé beucoup de tort au cinéma US qui, depuis, a privilégié la fonction mercantiliste des films au détriment de leur vocation artistique .
13bertrandMercredi 29 Mai 2013 à 03:09Décidément cher (ou chère ?) Adda, nous avons beaucoup de choses en commun.Oui pour la catastrophe arrivée au cinéma italien , c'est à en pleurer.Oui, pour cette véritable parenthèse enchantée que constituait les années 70 dans le cinéma US et qui est une ère malheureusement révolue.D'ailleurs Faye Dunaway elle même ne dit pas autre chose que vous, qui rappelle que le cinéma tel qu'elle le pratiquait n'est plus possible à l'intérieur des grands studios comme elle l'a connu mais qu'on le trouverait aujourd'hui dans le secteur indépendant avec malheureusement ses problèmes inhérents de production et de distribution et donc d'exposition possible à un large public.Elle disait comme vous que la guerre des étoiles , les dents de la mer ont annoncé la fin de tout ça et qualifiait Spielberg et Lucas de fossoyeurs.Ce n'est pas tant que ces oeuvres soient de mauvais films (ce sont de très bons films du genre), c'est plutôt que les studios s'étant aperçus des profits générés y compris de façon périphériques( tout le merchandising dont ce type d'oeuvre à l'apanage) étaient si immenses( du jamais vu à l'époque) que d'un seul coup c'est toute l'industrie et ses ecxécutants qui se sont détournés du cinéma et n'ont plus pensé que fric fric fric, ouvrant la porte à tous ces commerciaux étrangers à la question et qui vendent ça comme on vend du coca ,à coup de salles multiplexes entièrement dédiés à ce type de ciné et au tiroir caisse.Pourtant bonnie and Clyde, Chinatown, les hommes du présidents ou out of africa aussi, ça rapportait de l'argent....
12laurentMercredi 29 Mai 2013 à 03:09Bonjour Renaud,
Tout d’abord je te félicite pour le succès grandissant de ton blog, et je félicite Didier pour sa participation active. A vous deux vous avez fait évoluer le blog de manière très positive.
Je souhaiterais apporter mon opinion sur le débat concernant le déclin du cinéma américain et français. Je suis entièrement d’accord sur le diagnostic mais pas franchement sur le traitement préconisé et encore moins sur la conclusion négative de certains d’entre vous.
Tout d’abord reconnaissons que la critique est facile. En effet il y a encore 30 ans de ça il était de coutume de dire que l’ère des studios aux USA était une période négative, de films académiques etc… Aujourd’hui on dit des 30’s et 40’s que c’est l’âge d’or du cinéma américain. En fait on s’est aperçus que les patrons de studio n’étaient pas que des financiers mais également de vrais passionnés de cinéma. Ils devaient conciliés les investisseurs de Wall Street (qui étaient déjà aux commandes d’Hollywood) avec l’exigence artistique, tout en contournant une censure difficile. Sam Goldwyn par exemple a vécu toute sa vie endetté auprès des banques New-Yorkaises, car il se fichait de ce que rapportait ces films mais était obnubilé par la reconnaissance artistique (les oscars). Selznick failli mettre la RKO au bord de la faillite tant il voulait que King Kong soit une réussite. Il passa 10 ans de sa vie à faire Autant en Emporte le Vent, qui est SON film plus qu’aucun des réalisateurs qui se sont succédé sur le tournage.
Aux USA l’ère des superproductions sans âmes remonte aux 50’s pour lutter contre l’invasion de la TV. Si l’on regarde le BO américain de cette période et jusqu’à la fin des 60’s les premières places sont TOUTES trustées par ce genre de films (péplums, film d’aventure démesuré, western en pana vision, film de guerre gigantesque et même documentaire type « parc d’attraction filmé » comme This the Cinérama). Certains sont très réussi (Ben-Hur), d’autre sont des films purement ennuyeux (This is the cinerama), mais tous sont ce que l’on appellera plus tard des blockbusters. Pour autant le cinéma US à sut rebondir et les années 70 furent une décennie exceptionnelle, surpassant en qualité les 40’s. Paradoxalement c’est pendant cette décennie que les studios vont coup sur coup être rachetés par les banques new-yorkaises qui les finançaient depuis 50 ans. Car tous les grands patrons de studio d’antan, qui ont fait le cinéma américain, n’étaient plus là. Depuis ce moment nous vivons une période difficile faite de blockbuster produit par des comptables qui n’ont jamais vu de films de leur vie.
Depuis que le cinéma existe de nombreuses nations ont connu un âge d’or et se sont ensuite effondrées, faute de s’être adapté aux changements culturels, aux innovations techniques ou aux bouleversements politiques. Citons par exemple le cinéma suédois, l’un des plus prometteurs des années 20, produisant des succès internationaux (la charrette fantôme) des stars (Greta Garbo), de grands réalisateurs (Victor Sjöström). Mais il ne survécut pas au Parlant. Le cinéma Allemand, 2ème puissance cinématographique dans le monde dans les 20’s, qui commençais à s’adapter au parlant ne survécut pas au nazisme. A la fin des 50’ et dans les 60’s, il s’embla renaitre de ces cendres mais le communisme et la TV mis fin à l’espoir. La TV tua le puissant cinéma italien. Le cinéma russe ne s’est jamais remis de la chute du communisme. Les quotas eurent raison du cinéma britannique.
En effet, alors que dans les 30’s le cinéma anglais était le numéro 2 mondial, il ne sut faire face à la seconde guerre mondiale. Durant cette période, le prix des matières premières s’envola, provocant par la même occasion une hausse spectaculaire des coûts de production, tandis que le marché international ne se résumait qu’aux USA et à l’empire britannique. A la fin de la guerre le Royaume Uni était le 2ème plus gros marché du cinéma mondial, mais pour résister à l’invasion du cinéma US le gouvernement imposa un embargo de 75% sur la production américaine. Mais la production anglaise étant moribonde, le résultat fut sans appel : 240 millions de spectateurs perdus entre 1946 et 1951, soit une moyenne de 48 millions par an ! L’embargo passa à 33%. Mais le mal était fait, les entrées continuèrent à chuter inexorablement (plus d’un milliard d’entrées en moins les 13 années suivantes) et les studios anglais avaient besoin de l’argent d’ Hollywood. Et c’est ainsi que progressivement le cinéma britannique s’est vu phagocyter par le cinéma américain et que les anglais ont coutume de dire depuis 30 ans que leur cinéma n’existe plus depuis les années 60.
Finalement les cinémas américains et français sont les 2 seuls à avoir su surmonter toutes les crises qu’ils ont rencontré, chacun à sa manière, en gardant leurs places dans le marché mondiale du cinéma (numéro un pour les USA, numéro 2 ou 3 selon les périodes pour notre cinéma national).
Tous deux ont survécu au parlant puis à la crise de 29, les américains en surenchérissant dans le spectacle et en s’endettant, les français en faisant des drames sociaux et populistes. Les premiers sont tombés dans les griffes des banquiers, les seconds ont délaissés le cinéma de genre. Mais ils ont rebondis. Les américains ont survécu à la censure, à la seconde guerre mondiale et au Maccarthysme. Là où les producteurs italiens ont délaissés le cinéma pour produire des émissions de divertissements discutables à la TV pour faire de l’argent facile, les producteurs américains ont produit des séries pour elle. Ce qui leur a rapporté de l’argent de la part de leur concurrente mais aussi et surtout permis de dénicher un nombre incroyable de talent et de stars.
11RenaudMercredi 29 Mai 2013 à 03:09Bonsoir messieurs et merci de vous exprimer sur le blog.
A mon avis et peut être suis-je pessimiste, mais je crains que malgré une belle résistance, le cinéma français est en train de vivre lui aussi une sale période... Les résultats actuels sont édifiants : accident industriel de Turf malgré un budget de 23 millions d'euros, sans compter les petits chiffres de "Vive la france" , le truc avec les profs, etc... Un début d'année terrible mais assez logique. Le dernier bon film que j'ai vu c'est "De rouille et d'Os". Où sont les "Polisse" "The artist" ou "intouchables" qui est l'arbre qui cache la forêt.
Où sont les nouvelles stas françaises ? Ouvrons les yeux : Gilles Lelouch a près de 40 ans, tout comme Jean Dujardin notre meilleur acteur de notre nouvelle génération; Alain Chabat joue du Chabat depuis 20 ans, Jamel Debouzze fait du Jamel depuis 15 ans.. Edouard Baer ne se renouvelle pas.... Lanvin a 60 ans, Auteuil 63, Depardieu 66, Luchini 60... Et le niveau des comédies françaises c'est comment dire ? Du niveau de Berthomieu des années 50...Du Jean Boyer....Je suis très inquiet...
Le téléchargement ? Je ne télécharge même pas les films français....Pourquoi télécharger Asterix 4, quel intérêt de gâcher 1h30 de vie à regarder cela ? M'en fous totalement. Il serait temps que le cinéma français regarde la merde qu'il produit....
En ce moment le box office Chinois, Coréen explose. Des entéres en hausse constante. La Corée fait 200 millions d'entrées, cela ne vous dis rien comme chiffre ? C'est celui des entrées françaises. Ces pays produisent leurs propres films avec leurs stars et désormais une production chinoise peut faire 90 millions de dollars de recettes en un week end. Et ce n'est pas fini...
Le cinéma français actuel se plait à penser qu'il est unique au monde et le meilleur. En tout cas les spectateurs français ne le ressentent pas....
Le cinéma US n'est pas fleurissant non plus. Pour un happiness therapy de haute volée, beaucoup de productions indignes compsées à 90% d'images de synthèse...Le cinéma US vit aussi une terrible crise de qualité compensée en surface par un envahissement des écrans mondiaux qui assure encore des scores décents au box office mondial...
Les scénaristes US sont partis à la télévision et offrent quelques séries dont l'écriture est de haute volée, je citerai " Games of thrones" "Walking dead" "Sons of anarchy" "Homeland" "Dexter" "californication".... C'est terrible d'attendre le prochain épisode de "Games of thrones" plutôt que le nouveau film français... Vous me direz: c'est une question de budget... Faux et archifaux ! C'est une question de volonté et d'écriture et de risques.... Ce que semble incapable de faire le cinéma français et également les séries françaises proches de la faute professionnelle....
Oui je sais la critique est facile et l'art est difficile, il n'empêche que le cinéma français a hautement intérêt à se réveiller sous peine de disparaître comme le cinéma italien, Espagnol ou Allemand dont le box office est entièrement composé de films US....
10bertrandMercredi 29 Mai 2013 à 03:09Oui, je suis d'accord Renaud, même l'an passé les succès de Polisse et the artist étaient l'arbre qui cachaient la forêt de bides d'une situation en fait pas si reluisante mais au moins nous avons ce système très imbriqué mis en place au début des années 80 qui permet au ciné français de survivre (sous perfusion, il est vrai...).Pour n'avoir pas su légiférer, poser des quotas et des contraints de diffusion et obtenir des contreparties dela part despolitiques , le ciné italien s'est effondré totalement en 1978, lorsque le gouvernement a libéré les ondes et que des chaines privées se sont multipliées diffusant du ciné et des jeux racoleurs à tout va.L'exploitation ciné est passée de 514 millions de spectateurs en 1975 (près de 3 fois notre marché intérieur à l'époque) à un chiffre inférieur aux entrées française! Une hécatombe où se sont engouffrées les majors américaines qui ont racheté tout le parc de salle pour en faire des multiplexes dédié au ciné US le plus commercial (très bien fait d'ailleurs mais je lui reproche de ne pas être un ciné d'acteurs).Il suffit de voir le box office italien à partir des années 80 , c'est édifiant, y 'a plus que des block busters US , disparition quasi totale de la production locale... En france il y a quelque s bons films d'auteur type tomboy de céline sciamma , des choses qu'il gfaut aller trouver, mais c'est sûr qe ça manque de ce mélange de charisme et d'aura de bon cinéma populaire intelligent ( pas une insulte dans ma bouche).je crois que ce public reste tout simplement devant sa télé.d'ailleurs c'est ce qu'ont fini par faire les stars italiennes, tourner pour la télé le type de ciné qu'elles faisaient avant pour le grand écran.Par exemple , Sofia Loren qui , à partir de 1986,enregistre des audimats record et des résultats similairesà ces anciens succès en salle en faisant pout la TV " seule contre la mafia", "mamma lucia " de vrais hits en italie et aux USA toujours produits par on mari Carlo ponti.Ils se sont déplacés là où était le marché pour ce type de film et ça marche.Sur ce, bonne journée à tous!
9bertrandMercredi 29 Mai 2013 à 03:09mais je suis entièrement d'accord avec vous pour dire que bon an mal an le cinéma Français a survécu d'un point de vue de l'industrie grâce à ce système de financement très régulé et étroitement imbriqué avec les pouvoirs publics.Ce que les professionnels du cinéma Italien n'ont pas su mettre en place à la fin des 70's (période cruciale de basculement pour eux) .Entièrement d'accord avec vous pour dire que les grands moguls d'antan étaient des hommes de cinéma, cela dit durant les années 60, au moment de la disparition du système des studios et de la concurrence inquiétante de la télévision, leur stratégie a été en effet de surenchérir avec toutes ses superproductions surproduites dont vous parlez, mais dont l'équilibre financier était précaire.L'escalade des coût de production menaçait l'équilibre des studios et les bons résultats absolus en terme de ventes de tickets n'étaient pas toujours à même de rembourser les frais engagés.Par example,Cléopâtre ou Hello Dolly (en passant, Streisand est en effet une superstar dans le monde anglo saxon comme on ne l'imagine pas ici) ont fichu en l'air la Fox malgré leur excellent classement annuel. De plus, cette surenchère menaçait le cinéma d'un conformisme déjà daté , auquel la seule réponse à apporter était une sorte de nouvelle vague comme on avait pu le voir en France 10 ans plus tôt.Ce qui fut fait sous la pression combinée de la jeunesse et des changements sociologiques.Il est vrai qu'à la fin des années 60, les nababs d'antan avaient perdu le "flair", le sens de l'époque, si j'ose dire...Personnellement j'aime tous les styles, auteur, innovant ou plus classiciste, commercial, obéissant à des schémas narratifs plus conventionnels, appelez ça comme vous voulez...pourvu que je sente qu'on ne descend pas en dessous d'une certaine intelligence,d'une certaine intelligibilité, selon le définition anglo-saxonne du mot, que les histoires restent à un niveau humain (encore qu'il faudrait savoir ce que recouvre ce mot). Je ne voudrais pas tomber dans le tout passéiste et, pour répondre à Adda, je n'ai rien contre Catherine Frot par example mais, comme Adda quand même, je regrette la "disparition" d'un ciné commercial intelligent, film du "milieu" si j'ose dire avec des acteurs et actrices très charismatiques...En tant que fan d'actrices, par example , il est vrai que ça me manque les Sophia dans un bon De Sica , les Romy, les Faye. Dunaway... et pas seulement des physiques comme ceux là, certaines moins belles mais à très forte personnalité l'avaient aussi , ce petit truc indéfinissable et personnel à chacun(e). C'est vrai que je trouve quand même qu'il y a un petit quelque chose qui a disparu...Une tenue, une aura, une distance, un je ne sais quoi...Bon allons dormir...
8adda chentoufMercredi 29 Mai 2013 à 03:09La prétendue 2eme ou 3eme place occupée aujourd'hui par le cinéma français me parait spécieuse voire exagérée quand on sait que les films français ont cessé depuis longtemps d'attirer le public international, l'europe exceptée. J'en veux pour preuve la désaffection des publics du Maghreb ( Algérie- Maroc- Tunisie) pour les films français depuis plus de 20 ans. Il ne faut pas oublier qu'avec 80 millions d'habitants , ces 3 pays constituaient des marché importants pour les films exagonaux , avec l'Algérie en premier. En effet entre 1975 et 1980 à titre d'exemple 50 films français étaient distribués en moyenne dans nos salles de cinéma ( contre environ 75 films américains ) alors qu'en 1990 ce nombre a chuté à 10 seulement ( contre 50 films US). Le parc actuel ( famélique) de moins de 10 salles ( contre 350 en 1975!) de permet pas de se faire une idée sur la question , mais il est certain que si on disposait aujourd'hui du meme nombre de salles qu'il y'a 30 ans, les films distribués seraient à 90/100 américains avec seulement quelques grosses productions françaises genre "Asterix" ou "intouchables". Il n'y'a qua voir les films en DVD en vente dans nos magasins: la plupart sont américains et trés peu français. Conclusion: le cinéma français a perdu énormément de parts de marché , y compris dans ses places traditionnelles comme l'afrique du nord.
7RenaudMercredi 29 Mai 2013 à 03:09@Adda
Et oui cher Adda, comme vous le faites remarquer, le cinéma français a bien sûr perdu beaucoup avec l'affaiblissement des salles algériennes, mais aussi il faut se rappeler combien la synergie entre le cinéma français et italien a produit de belles choses. 500 milliosn de spectateurs dans lesa années 60 et 70 cela aidait beaucoup a rentabiliser certains films en Italie. N'oublions pas les succès de DELON et BELMONDO en Italie qui ont rentabilisé bien de leurs films... Hélas aujourd'hui ce n'est plus le cas et je crains qu'en effet que malgré tous les efforts de communication effectués, que le cinéma français a perdu bien de son aura...
Je reviens sur les succès du cinéma Coréen capable de générer 10 à 15 milliosn de spectateurs pour un grand succès de leur cinéma héxagonal... A mon avis le futur du cinéma se trouve du coté des machés émergeants, qui pour moi ont déjà émergés depuis longtemps...
Il faut dire une vérité difficilement masquée par les hommes politiques actuels. La France n'est plus une puissance mondiale. La France n'est plus. Elle est mangée économiquement, artistiquement, politiquement par bien d'autres pays... Mais faisons semblant d'y croire encore....
Dans quelques années la france ne sera plus dans le top 10, voire le top 15 des puissances mondiales.... Elle sera bien loin derrirère L'Inde, le Brésil, la Corée etc...
Est ce bien grave ? Soyons désinvoltes... Aller, je vais faire le ménage en attendant les enfants...
6laurentMercredi 29 Mai 2013 à 03:09Bonjour Adda,
Vous semblez ignorer deux choses :
Premièrement le cinéma français d’aujourd’hui comprend de nombreuses productions en langue anglaise. Celles-ci bien que jouées par des acteurs internationaux, parfois réalisées par des réalisateurs étrangers, sont financées par des producteur français. Or c’est ainsi qu’est défini la nationalité d’un film. Cela a d’ailleurs toujours été, quel que soit la nationalité du film. De la même façon que l’oscar du meilleur film revient au producteur car c’est lui le seul propriétaire du film. Par exemple le 5ème élément (45 millions d’entrées hors de nos frontières), Taken 2 (47.5 millions d’entrées à l’étranger) ou encore les Transporteurs sont 100% français. Les Resident evil, the Ghost writer par exemple sont des productions à majorité française. Mais chaque année des films en langues française cartonne également à l’étranger.
Quelques exemples parmi d’autres :
-Le diner de cons : 4.5M
-Bienvenu chez les ch’tis : 8.5M
-Amélie Poulain : 23.5M
-La marche de l’empereur : 19M
-The artist : 15M
-Intouchable : 40M
-Trois hommes et un couffin : 7.7M rien qu’en Allemagne
Depuis 1985 la liste est en réalité longue, quel que soit la langue dont on parle.
Deuxièmement vous semblez croire que le cinéma français ne s’est jamais exporté en-dehors de l’Europe et du Maghreb. Or c’est justement ce que j’explique : Le cinéma français s’est adapté et a su conquérir d’autres territoires. Ce sont parfois des films que les français ne vont pas voir en salles. Pourtant les films d’horreur et les longs métrages animés de nos contrés plaisent beaucoup aux mexicains, nos films d’actions sans scénario (les transporteurs entre-autres) aux russes, les documentaires aux américains par exemple. Je m’appuie sur des rapports annuels de l’Observatoire européen et d’Unifrance (eux-mêmes repris par le CNC). Contrairement à ce qu’aime relayer les médias, depuis 15 ans nous somme le pays qui exporte le plus son cinéma au monde derrière les USA. Nous n’avons plus de stars internationales mais nous sommes le 4ème ou 5ème plus gros producteurs de films au monde selon les années. De plus Unifrance fait un travail formidable pour promouvoir et distribuer nos films à l’étranger. Nous sommes d’ailleurs le premier pays à avoir créé une organisation pour favoriser la distribution international de nos films. Car la distribution est le nerf de la guerre pour vendre ses films et les américains l’ont bien compris puisqu’il possède un immense réseau de distribution mondial depuis 80 ans. Et nous commençons à avoir le nôtre (a beaucoup plus petite échelle) mais nous sommes les seuls avec les américains. En effet tous les films non américains qui sont distribués à grande échelle le sont par des distributeurs américains. Pour tous les autres films les producteurs et les distributeurs doivent les vendre pays par pays, quasiment salle par salle dans un parc de cinémas très limité, hors de leurs frontières. Nous avons la chance de commencer à avoir une filière structuré et relativement développé. Or ça aide pour engranger les entrées. Et c’est bien de cela qu’il s’agit : Du nombre global d’entrées fait en-dehors de ses frontières et pas du nombre de succès internationaux (les américains sont les seuls à en faire plusieurs chaque années).
Depuis que j’étudie le box-office international j’ai découvert pas mal de choses étonnantes. Par exemple nous avons placé de nombreux films dans le top 50 australiens ces 30 dernières années(et en langue française SVP). Aux USA (50% du marché mondial) 94% des entrées sont faites par des films américains, la moitié environ de ce qui reste est détenu par le cinéma français chaque année. Sans parler des cas particuliers (Amélie Poulain, the Artist ou encore intouchable Iui fait 1.75M d’entrées en Coré du sud s’installant ainsi dans le top 20 annuel etc…).
Je suis d’accord avec Renaud sur la puissance économique et politique de la France, mais le cinéma en est indépendant (pour l’instant du moins) et l’avenir est incertain, mais une chose est sure : Les cinémas français et américain ont plus d’atout qu’on veut bien leur prêter en général, et ils ne sont pas encore mort et enterrés
5bertrandMercredi 29 Mai 2013 à 03:09Mais oui , laurent a tout à fait raison de le rappeler, en ce moment où l'on parle beaucoup de la production française suite à la polémique provoquée par Vincent Maraval dans le monde, la presse rappelait l'autre jour la très importante exploitation de par le monde du cinéma Français.Je ne citerai pas de chiffre, ne voulant pas dire de bêtise, mais le nombre d'entrées rapporté dans une tribune à la radio que j'ai entendu il y a peu, était très conséquent.Non, il me semble que le cinéma Français garde quand même une certaine aura auprès des cinéphiles du monde entier et a une base structurelle plus solide que partout ailleurs en occident, exception faite des états unis.Notre système de financement, même avec ses ratés , nous est envié partout en Europe.
4laurentMercredi 29 Mai 2013 à 03:09Il y a vraiment un problème ce soir sur overblog. Voici la suite :
Les 2 plus gros succès de 2012 en Corée sont tous 2 coréens. Il s’agit de The Thieves (12 983 182 entrées) et Masquerade (12 318 350 entrées). Le premier a pour l’instant rapporté 1 501 704$ dans le reste du monde dont 685 839$ aux USA et 343 591$ à Hong Kong. Le deuxième lui a déjà rapporté 9 868 662$ hors de ses frontières, dont 912 017$ aux USA et 540 449$ au Japon.
En France, les 2 plus gros succès de l’année dernière pour le cinéma français ont été Sur la piste du Marsupilami et la Vérité si je mens 3 (sic), Astérix 4 est le troisième (re-sic). Malgré la qualité de ces films (que chacun jugera), le premier a déjà encaissé 7 330 466 $ à l’étranger, le 2ème 1 859 672$ et le dernier 29 948 847$ dont 7 469 742$ en Russie (pays où il a le mieux marché).
Le cinéma coréen, d’une qualité visuelle remarquable, s’exporte surtout grâce à internet et aux DVD en import, alors que partout dans le monde il y des millions de personnes qui sont prêtes à se déplacer et payer une place de cinéma pour voir nos navets (pardon films). Et ils sont de plus en plus nombreux d’année en année et c’est une constante depuis 15 ans. J’en veut pour preuve les chiffres suivants :
En 2012, 69 films français ont rapportés plus d’1 000 000$ à l’étranger. Parmi eux 11 ont attirés plus d’un million de spectateurs. En 2011 ils n’étaient que 51 à avoir dépassés le million de dollar de recettes mais toujours 11 à avoir dépassé le million d’entrées. En 2010, 431 films français ont attiré plus de 67 millions de spectateurs dans 62 pays. L’année suivante, 511 films faisaient plus de 74 millions d’entrées dans 69 pays, et l’année dernière près de 138 millions de spectateurs dans 80 pays sont allé voir les 470 films français qui étaient diffusés dans le monde.
P.S : Amour de Haneke a déjà attiré 1 850 793 spectateurs étrangers pour environ 17.2M$, alors que c’est un film d’auteur et qu’à peine 600 000 français se sont déplacés en salle pour le voir.
3adda chentoufMercredi 29 Mai 2013 à 03:09J'admet le fait que de toutes les cinématographies , celle de la France est aujourd'hui la plus dynamique, la plus prolifique et la plus diversifiée . C'est aussi celle qui se défend le mieux contre le cinéma américain et parvient meme à exporter avec plus ou moins de succés quelques-uns de ses films. Mais le fait est là: le cinéma français ne fait plus rever en l'absence de stars internationales qui lui donnaient naguère toute son aura et contribuaient à son rayonnement à l'étranger. Pour s'en convaincre il n'y avait qu'à voir la triste et monotone cérémonie des césars de la veille : le seul moment qui m'a fait vibrer ( et je n'étais pas le seul) était la remise du césar d'honneur à Kevin Costner, la seule vraie star présente dans la salle. Et que dire de l'absence meme de certains lauréats comme M.Hanecke et A. Desplat qui avaient l'esprit ailleurs ( les oscars voyons!) ainsi que de nombreux nominés. Ironie du sort : la seule vraie star Française présente c'était Patrick Bruel , un chanteur !! Quand je pense à la 1ere cérémonie des césars de 1976 avec Gabin président d'honneur ( hier c'était J. Debbouze , quelle évolution!) et tout le parterre de stars présentes ( R. Schneider, Noiret, Girardot, Malle, Tavernier , P. Richard, Enrico, Ventura , Jobert etc..) j'ai envie de pleurer devant tant de médiocrité que ne mérite pas le cinéma qui a enfanté Carné , Renoir, Duvivier, Clouzot, Melville, Truffaut , Lellouch , Verneuil, De broca et les autres.
2bertrandMercredi 29 Mai 2013 à 03:09Adda, je suis d'accord avec vous sur le fait qu'un plateau des césars en 78, ça avait plus d'allure, mais alors sur la monotonie heu... non, les français n'ont jamais été bons pour faire le show, sorte de quant à soi franco français dont les gens prestigieux que vous citez étaient , il faut bien le dire, très représentatifs!!! Ha la la , jacques Martin essayant de faire chanter la signoret , le noiret , la belle Isabelle se recroquevillant sur son siège et n'ayant qu'une envie, celle de disparaitre de la soirée qui devait couronner son triomphe, faut revoir ça... Tout ça était d'un lent , d'un empesé avec la grosse zizique de claude Bowling ZIM BAM BOUM TRA LA LA Des trublions à la Poiret ou Serrault à une époque ou Darry Cowl et Louis de funès n'avaient pas encore été réhabilités par les profs d'université et les lecteurs de télérama, y'en avaient pas des masse!! A la limite, aujourd'hui , ils font plus le show et se rapprochent en cela des americains dans un tout mondialisé et dépersonnalisé.Il faut le dire, Jamel est quand même assez drôle et show man, c'est pas Delon qui aurait fait la pirouette!! Ha Ha! Non, y'avait simplement que Romy, Catherine, Nastassja ou isabelle étaient tellement plus photogéniques et stars...même avec un box office moyen pour certaines d'entre elles d'ailleurs...
salut, je vois aussi que tu est passionné de cinéma je te propose d'allé voir mon court-métrage que j'ai fait à l'occasion d'un concours de cinéma, il suffit juste de voter en dessous de la vidéo : http://www.gardmotion.com/16-20ans/colored-dream/
merci d'avance de ton soutien =)
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Hello again,
J adore ce genre d échange , un peu en retard il est vrai , mais pour tout dire he le déguste avec un bon verre de rosée .
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