• SAYONARA - BOX OFFICE MARLON BRANDO 1958

     

    SAYONARA

    26 MARS 1958

     

      

    SAYONARA - BOX OFFICE MARLON BRANDO 1958

     

     

    • Réalisation : Joshua Logan
    • Scénario : Paul Osborn, d'après un roman de James Michener
    • Photographie : Ellsworth Fredericks
    • Musique : Franz Waxman
    • Pays d'origine : Drapeau des États-Unis États-Unis
    • Langue : anglais
    • Genre : mélodrame
    • Producteur : William Goetz
    • Distribué par : Warner Bros.
    • Durée : 147 minutes

     

    • Marlon Brando (VF : Claude Bertrand) : Major Lloyd Gruver
    • Patricia Owens : Eileen Webster
    • Red Buttons (VF : Michel Gudin) : Joe Kelly
    • Miiko Taka : Hana-ogi
    • Ricardo Montalban : Nakamura
    • Martha Scott : Mme Webster
    • Miyoshi Umeki : Katsumi Kelly
    • James Garner (VF : Raymond Loyer) : Capitaine Mike Bailey

     

     

    SYNOPSIS

    Pendant la guerre de Corée, le commandant Gruver, as de l’aviation américaine est envoyé au Japon pour prendre du repos. Il doit cette mesure de faveur à son futur beau-père, le Général Webster, qui a projeté des vacances familiales, Gruver va retrouver à Kobé sa fiancée, Eileen.
    Le commandant militaire américain en Extrême-Orient doit alors faire face à un grave problème. Bien qu’ils n’aient pas le droit d’épouser des japonaises, les soldats américains ont des liaisons qui deviennent sérieuses. C’est le cas d’un compagnon de Gruver, Kelly, qui s’adresse directement à son député pour obtenir l’autorisation d’épouser Katsumi. Gruver n’a pas d’opinion sur le problème, mais il accepte d’être le témoin de Kelly ; ce qui lui vaut une réprimande du général Webster.
    Gruver se lie d’amitié avec le Capitaine Bailey, sympathisant japonais. Au cours d’une soirée il aperçoit Hana-Ogi, une danseuse d’une troupe vivant en réclusion pour l’amour de la danse. Séduit, Gruver attend plusieurs jours de suite Hana-Ogi à l’entrée du théâtre. Finalement Gruver-demande aux Kelly d’inviter Hana–Ogi…pendant ce diner, le Commandant et la danseuse amoureux l’un de l’autre. Informés de cette liaison, le Général Webster donne l’ordre de rapatrier aussitôt les soldats américains sanas leurs épouses japonaises. Prévenu par Eileen (qui entretemps s’est sentie attirée par un acteur de Kabuki), Gruver tente d’intercéder en faveur de Kelly. Webster refuse de le recevoir. Au cours d’une soirée d’Adieu, Kelly est arrêté dans son appartement barricadé, interdit au personnel militaire américain. Kelly s’évade, rejoint son épouse  et se suicide avec elle. Gruver et Bailey découvrent les corps. Au moment où ils sortent de la maison ils sont assailli et malmenés par un groupe de Japonais.Webster a compris et promet qu’une loi autorisera bientôt les mariages interraciaux. Gruver suit Hana-Ogi à Tokyo et lui demande de l’épouser. Devant le théâtre, Gruver attend la réponse, entouré de journalistes américains et japonais. La réponse est « oui ». Gruver a-t-il quelque chose à dire au haut commandement militaire, demande un journaliste :  « Sayonara (adieu) »

     

    ANALYSE ET BOX OFFICE

    A la vision du film qui est conventionnel dans son traitement, on peut se demander pourquoi BRANDO accepte le rôle principal de cette romance teintée d’un débat politico-social intéressant mais pas transcendantal.
    BRANDO a adoré le Japon lors du tournage de « la petite maison de thé », l’exotisme, l’ étude des autres civilisations l’ont toujours passionné et c’est une occasion d’y revenir.
    Le sujet qui l ’interesse et bien sûr la monnaie, car il est dépensier au possible et à besoin des cachets énormes qu’il touche désormais depuis qu’il est devenu un des 5 acteurs les plus payés d’Hollywood et dans les petits papiers des exploitants de cinéma qui l’ont classé dans les stars les plus rentables du cinéma….
    BRANDO accepte le film et participe à la rréécriture du script qu’il juge moyen, bien sûr la plupart de ses remarques seront mises à la poubelle.
    Le réalisateur est ravi, c’est l’occasion de filmer le « vrai » Japon, car il tient aux détails réalistes. Mais il est dans l’obligation de recréer les troupes de « kabuki », ne possédant pas les autorisations de filmer les vrais artistes. Ce n’est quand même pas pareil. BRANDO est très déçu, ses espoirs d’un film « politique » et « réaliste » s’envolent, il constate qu’il tourne dans une bluette dégoulinante. Qu’importe en grand professionnel il est charmant avec les équipes et les acteurs. Il abuse des plaisanteries à deux balles sur le plateau, mais trouve le moyen de faire prendre un accent sudiste à son personnage, car pour lui les sudistes n’aiment pas les ethnies différentes, cela peut être un détail « vrai » pour le film. Moyennant quoi « Sayonara » cartonne au Box Office se classant dans le top 5 de l’année. Malgré un manque d’intérêt pour le film BRANDO joue suffisamment bien pour obtenir une cinquième nomination aux Ocars ( en 7 ans !!!) BRANDO reste le chouchou du public américain, ce qui ne va pas durer…… En France le résultat est modeste, mais le sujet du film et une exploitation en version originale à Paris expliquent partiellement ce score moyen.    

     

    ENTREES France TOUTES EXPLOITATIONS

    1 641 646

    ENTREES Paris 1ère EXPLOITATION

    76 303

    ENTREES Paris TOUTES EXPLOITATIONS

    267 655

    ENTREES Paris 1ère SEMAINE

    14 570

    NOMBRE DE SEMAINES PARIS 1ère exploitation

    9

    NOMBRE DE SALLES  Paris semaine de sortie

    3

    Moyenne entrées par salles 1ère semaine

    4 857

    1er JOUR Paris

     

    COTE DU SUCCES

    * *

     

     

     


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