• POUR UNE POIGNEE DE DOLLARS - BOX OFFICE CLINT EASTWOOD 1966

     

    POUR UNE POIGNEE DE DOLLARS

    (Per un pugno di dollari)
    25 MARS 1966

    ITALIE 12 SEPTEMBRE 1964

     

    Didier NOISY possède toute l'exploitation du film semaine après semaine. Certains chiffres sont pourtant des arrondis plus ou moins proches. C'est dans le but que ces chiffres exclusifs ne soient pas repris sur un certain site. Par contre les entrées France sont réparties par tranche de 1 millions d'entrées afin de montrer le déroulement de l'exploitation atypique du film, c'est notre objectif.

     

     

    POUR UNE POIGNEE DE DOLLARS - BOX OFFICE CLINT EASTWOOD 1966

    • Titre original : Per un pugno di dollari
    • Réalisation : Bob Robertson alias Sergio Leone
    • Scénario : Sergio Leone, Fulvio Morsella, Luciano Vincenzoni
    • Musique : Ennio Morricone, bande originale du film
    • Photographie : Massimo Dallamano
    • Production : Arrigo Colombo, Giorgio Papi
    • Société de distribution : United Artists
    • Budget : 200 000 $ (estimation)
    • Pays d'origine : Drapeau de l'Italie Italie
    • Format : Technicolor - 35 mm (Techniscope)
    • Genre : western spaghetti
    • Durée : 96 minutes

     

    • Clint Eastwood : « L'homme sans nom »
    • Gian Maria Volontè  : Ramón Rodos 
    • Wolfgang Lukschy : John Baxter, le shérif de San Miguel
    • Sieghardt Rupp  : Esteban Rodos
    • Antonio Prieto : Don Miguel Benito Rodos 
    • José Calvo  : Silvanito, le tavernier
    • Margarita Lozano : Consuelo Baxter

     

     

    Joe, dit le "gringo", arrive un matin à San Miguel, une petite ville située à la frontière avec le Mexique, que se disputent deux familles, les Rodos et les Baxter. Joe ne se laisse pas impressionner par cette rivalité intempestive, au contraire il s'en réjouit. Il tue quatre hommes des Baxter qui ont voulu prendre un peu de bon temps avec lui, et se met à la solde des Rodos, en honnête mercenaire. A la suite d'une attaque, Ramon, le plus dangereux des frères Rodos, emporte un confortable butin d'or et d'armes. De son côté, Joe est assez rusé pour faire se rencontrer les deux bandes ennemies et enlever Marisol, la maitresse de Ramon, qui sera une monnaie d'échange contre des prisonniers de Rodos. Le mercenaire échappe à ses employeurs en se dissimulant dans un cercueil. Convaincus qu'il est désormais au service des Baxter, les Rodos les attaquent et les déciment sauvagement. Joe, blessé lors de l'embuscade, se remet de ses blessures dans une mine désaffectée. Il réapparaît au village. Ramon, rapide comme l'éclair, le vise en plein coeur. Mais Joe, protégé d'une carapace d'acier avance toujours. Finalement le pistolet du " gringo " sera le plus rapide. Plus de Baxter, plus de Rodos, la paix est revenue au village !

    *********************************

    Beaucoup de livres ou de blogs rapportent la genèse du film. C'est la rencontre de trois personnes qui donne un grand film comme c'est souvent le cas dans l'histoire du cinéma. C'est la rencontre entre Clint Eastwood, Sergio Leone et Ennio Morricone, et le résultat est détonnant.

    C'est naturellement une date décisive pour Clint toujours cantonné à "Rawhide" bien que celle-ci tire à sa fin. C'est pourtant l'acteur principal de la série qui recoit la proposition de tourner dans le film de Leone. Pas satisfait par les conditions salariales il transmet le projet à Clint. En fait il semblerait bien que ce soit l'agent de Clint pour la série Rawhide qui parvient à contacter un agent italien pour proposer l'acteur. La femme de Clint appuie la demande car elle prfère que son mari tourne entre deux saisons de Rawhide. Leone qui a supporté le refus d'acteurs comme Charles Bronson ou James Coburn regarde donc un épisode de Rawhide traduit en italien et trouve le physique de Clint intéressant, en particulier sa manière de se déplacer. C'est Eric Fleming de la William Morris Agency qui négocie pour Clint un salaire de 15 000 dollars, des billets d'avion en classe économique et la prise en charge de tous ses frais pour les 11 semaines de tournage. Clint lui en sera reconnaissant.

    Leone a donc son acteur principal pour tourner son western très influencé par un film de Kurosawa ce qui lui vaudra quelques soucis quelques temps après ayant "oublié" d'en informer et de payer des deoits à Kurosawa. Très intelligemment Leone va chercher un bon acteur de théâtre italien :Gian Maria Volonté pour s'opposer à "l'homme sans nom". Pour la musique du film on lui conseille Ennio Morricone. Leone dit à celui-ci " Je n'ai pas aimé ta musique pour duel au Texas on dirait du mauvais Dimitri Tiomkin ("Alamo" par exemple) et Morricone de répondre "Mais on m'avait demandé de faire du mauvais Tiomkin et je l'ai fait fait, faut bien manger". Affaire conclue car Morricone lui promet une musique vraiment originale. Leone s'entoure de solides techniciens autour de lui, des pointures dont certains deviendront réalisateurs. Comme on le constate malgré un budget moyen de 200 000 dollars, Leone avait beaucoup d'ambitions.

    La rencontre entre Leone et Eastwood n'est pas évidente au début. Eastwood ne parle pas italien et d'ailleurs Leone va lui couper pas mal de dialogues à la grande frustration de Clint. Le réalisateur expose ses vues à Clint qui accepte de toutes façons. Par contre Clint impose sa tenue et le cigarillo à Leone, le spécialiste du western US c'est comme même lui. Leone accepte, car il sent bien que Clint possède de l'instinct. Le tournage est difficile car le budget ne permet pas la folie, reste à Leone à imposer son style, sa patte, sans que cela coûte trop cher. Clint un peu taiseux sur le tournage observe beaucoup et se plie de bonne grâce aux idées de Leone. Car en dehors d'un scénario assez classique Leone se lâche peu à peu au fur et à mesure du film. C'est un film violent, un brin sadique où Clint en prend plein la figure bien qu'il soit un pistolero hors catégorie et les morts pleuvent. Leone ose des plans jamais vu, comme de filmer à ras du sol les paires de bottes des protagonistes, où utiliser des plans larges. Il utilise également les gros plans des visages des acteurs sans pour autant en abuser comme sur "Il était une fois dans l'Ouest". Mais vous découvrirez de bien nombreuses études sur le film. Il est évident que le film a fortement influencé des générations entières de réalisateurs dont Quentin Tarentino lui même adorateur du film. Clint Eastwood a même repris la séquence où Gian maria Volonté décime une troupe à l'aide d'une mitrailleuse dans "Josey Wales hors la loi".

    Clint rentre aux USA et entame la septième et dernière saison de Rawhide, une série qui était un peu tombée dans les classements d'audience. Pendant se temps Leone termine le montage du film que Duccio Tassari trouve très bien sans compter la superbe musique de Ennio Morricone. Leone modifie son titre original "The magnificent stranger" en "Pour une poignée de dollars" et change son nom à l'affiche: Bob Robertson cela fait plus américain. Bien que quelques journaux aient signalé le tournage du film pas grand monde ne veut distribuer le film. Une seule salle le diffuse en septembre 1964 et les trois premiers jours sont médiocres. Mais situé à coté d'une gare du public occasionnel se rend dans la salle et le bouche à oreille fait son effet. Au lieu d'être annulé le film fait salle comble, ce qui enclenche la diffusion dans un autre cinéma, puis encore un autre. Au final le film devient un succès de plus en plus important. Fin novembre 1964, Clint peut lire dans Variety qu'un formidable western marche très bien en Italie "For a fistful of dollars", l'acteur apprend donc que le film est un gros succès en Italie. Mais pour des questions juridique (un conflit avec Kurosawa"  Le miracle se poursuit et le film attirera au fur et à mesure de ses années de diffusion plus de 14 000 000 d'entrées en Italie (!). Clint est donc auteur d'un beau succès en Europe sans qu' il soit reconnu aux USA.

    Le succès surprise du film permet a Leone de s'atteler rapidement à une sorte de suite "Et pour quelques dollars de plus" avec cette fois un budget de 350 000 dollars. Le film sortira en décembre 1965.

    En France la sortie du film se fera près de deux ans après la sortie en Italie alors que "Pour quelques dollars de plus" est déjà diffusé en Italie. Le film sort dans 3 salles à Paris dont le Grand Rex où le film fait 26 693 entrés, un joli succès pour une salle populaire. De fait le film semble bénéficier d'un bon bouche à oreille puis la semaine suivante son score augmente et le film fait 28 803 entrées au Rex. La troisième semaine les premières copies sortent en province et le film dépasse les 100 000 spectateurs France. Au cours de cours de ses 4 semaines d'exclusivité le film fait 156 000 entrées à Paris. Un bon succès bien aidé par ses 101 395 entrées au Rex en 4 semaines, un très beau score. Le film passe rapidement dans d'autres salles mais fait moins de 800 000 entrées dans sa première année en France. Le film va être relancé par la sortie de "Pour quelques dollars de plus" fin 1966 et bien sûr par le succès des futurs LEONE. Ce qui fait que le film va avoir une très longue exploitation en France de 1966 à 1974. 

    Le film bénéficie d'une première réédition en 1972. Il attirera 155 000 spectateurs à Paris et sera encore un succès au Grand Rex avec 22 460 entrées pour sa première réédition et 60 792 entrées en 3 semaines. Il passe les 2 millions d'entrées cumulées en France à cette occasion. En France l'exploitation 1972 dépasse les 700 000 entrées.

    Le film est réédité une seconde fois à l'été 1976. Sur Paris intra-muros il récolte 136 187 entrées. Encore une fois au Grand Rex il attire encore 17 670 entrées et plus de 500 000 spectateurs en France et passe le cap des 3 millions de spectateurs cumulés.

    Le film ressort à l'été 1979. A Paris. Sur Paris il attire encore 75 193 spectateurs dont 9 508 spectateurs au Grand Rex. Sur la France le film attire encore plus de 300 000 spectateurs.

    En 1983 le film ressort encore une fois et attire sur Paris 50 899 entrées et sur la France et près de 350 000 entrées en France où il passe le cap des 4 millions de spectateurs cumulés.

    L'exploitation se poursuit pour en être à près de 4.4 millions d'entrées en 2014. Un incroyable exemple de longévité. Il est évident que cette carrière a bien été poussée par les autres films de LEONE généralement réédités en même temps.

                     

     

    CATEGORIE POS NOMBRE SALLES
    ENTREES FRANCE 1 4 383 311
     
    1ère semaine FRANCE
      + 100 000
    7
    Date passage 1 million France   semaine 44/1967  
    Date passage 2 millions France   semaine 29/1972  
    Date passage 3 millions France   semaine 28/1976  
    Date passage 4 millions France   semaine 24/1983  
    ENTREES PARIS BANLIEUE   + 1 500 000
     
    1ère semaine 2 38 813
    3
    2ème semaine 2 45 353
    3
    3ème semaine 2 40 830
    3
    4ème semaine 3 31 094
     3
    Budget   200 000 $
     
    Cote du succès   * * * *
     

     

     

    POUR UNE POIGNEE DE DOLLARS BANDE ANNONCE US

     

     

     POUR UNE POIGNEE DE DOLLARS - BOX OFFICE CLINT EASTWOOD 1966

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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  • Commentaires

    9
    Laurent
    Mardi 11 Juillet 2017 à 13:27

    J'ajouterai que les recettes totales du film en Italie atteignent 3 182 833 000 de lires. Reprises incluses, je suppose.

    8
    Laurent
    Mardi 11 Juillet 2017 à 13:25

    Très intéressant ces chiffres. Merci.

    7
    Didier Noisy
    Mardi 11 Juillet 2017 à 12:32

    Wouah ! Ca faisait un bail que je n'étais pas venu sur cette fiche-film !!! 

    Voici quelques chiffres totalement inédits, concernant les recettes que "Pour une poignée de dollars" fit en Italie, lors de sa première exclusivité, sur ses 14 premiers mois et sur 11 villes-clés (résultats des recettes en lires) : 

    ROME = 142 108 000 

    MILAN = 138 448 000 

    TURIN = 83 737 000 

    BOLOGNE = 65 407 000 

    FLORENCE = 52 296 000 

    NAPLES = 50 191 000 

    GÊNES = 32 457 000 

    PADOUE = 14 669 000 

    CAGLIARI = 13 726 000 

    TRIESTE = 13 636 000 

    PALERME = 12 064 000 

     

    Et un total général (toutes villes confondues) de 2 milliards 127 millions (2 127 000 000) de lires en 14 mois !!!

    6
    adda chentouf
    Mercredi 29 Mai 2013 à 05:00
    adda chentouf

    il serait interessant d'inserer les chiffres d'entrées à l'international ( espagne, italie, allemagne...) pour le bo de clint eastwood, comme pour charles bronson. est-il possible de les avoir?

    5
    adda chentouf
    Mercredi 29 Mai 2013 à 05:00
    adda chentouf

    bonjour Renaud. en espérant que tu surmonteras rapidement tes soucis familiaux, je te saurais gré d'envisager également ( avec la précieuse aide de Didier) la publication des b.o d'acteurs comme Paul Newman, Steve Mc Queen, Gene Hackman, James Coburn ou Burt Reynolds dont les films ont bercé notre jeunesse dans les années 70. j'espère que ce n'est pas trop demander! merci d'avance.

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    4
    Renaud
    Mercredi 29 Mai 2013 à 05:00
    Renaud

    Bonjour

    Oui c'est prévu au moins pour 3 d'entre eux, et il y a même Burt Reynolds dedans.

    En attendant voici celui de Clint EASTWOOD, une bien belle pièce.

     

    Cordialement

    3
    adda chentouf
    Mercredi 29 Mai 2013 à 05:00
    adda chentouf

    merci Renaud pour le bo de Clint qui m'a passionné. Il fait notamment ressortir l'immense popularité de l'acteur en espagne avec 55 millions d'entrées pou 45 films en tant qu'acteur. en france on remarque que l'engouement du public pour ses films n'est intervenu qu'au milieu des années 80, ses scores des années 70 ayant été plutot médiocres par rapport a Bronson par exemple .mais avec 48 millions d'entrées il reste sur une excellente moyenne. en revanche son bo en allemagne est plus modeste avec 13 millions (pour 25 films il est vrai).Bebel avait attiré dans ce pays 23,8 millions de spectateurs avec 14 films seulement! il faut aussi reconnaitre que la trilogie de Sergio Leone a été pour beaucoup dans le succés de Clint (14 millions d'entrées en france et environ 12 en espagne c'est énorme!).il reste que ,fait trés rare,Eastwood a relancé sa carrière aprés 60 ans, synonyme de déclin et de retraite pou la majotité des grandes stars ( seul Sean Connery a eu - toutes proportions gardées- un parcours similaire au bo). une curiosité toutefois : l 'immense succés obtenu en espagne( prés de 3 millions d'entrées ) par le médiocre " la kermesse de l'ouest" qui n'a marché nul part (y compris chez nous en algérie ou ce fut un bide!) .  comme quoi "les voies du bo sont parfois impénétrables !!". encore une fois merci Renaud pour ce document fort instructif et bon courage. 

    2
    Renaud
    Mercredi 29 Mai 2013 à 05:00
    Renaud

    Merci Adda cela fait plaisir à ceux qui ont travaillé sur ce tableau.

    La kermesse de l' Ouest traîne une mauvaise réputation, due en partie à Clint lui même il faut bien l'avouer. Le tournage fut très long et la star s'est terriblement ennuyé.

    Mais aux USA le film a bien marché et reste populaire et en Espagne il a cartonné en effet.

     

    Le score France est trompeur. Déjà que les films musicaux en France ne marchent pas mis à part quelques exceptions (West Side Story, Grease...) De plus, le film n'est pas si mauvais que cela. il est surprenant c'est tout 

    1
    laurent
    Mercredi 29 Mai 2013 à 05:00
    laurent

    Il faut savoir que les films musicaux sont par définition difficile à exporter, quelque soit la nationalité du film. En effet aucune solution satisfaisante n'existe. Soit on laisse les passages chantés en vo et le public étranger s'ennuie, soit on double les chansons et là, on frôle parfois la catastrophe.

    C'est pourquoi des grands classiques américains comme "Chantons sous la pluie", tous en scène" ou "un américain à paris" ont eu une carrière internationnal très inférieur à celle réalisée aux US. De même que les Joselitos, en dehors de la france, ont été fraichement reçus hors Espagne. Ou que les opérettes de Charles Trénet marchaient nettement moins bien en-dehors de France, et que contrairement à la légende les 2 films de Jacques Demy n'ont jamais été des triomphes internationaux.

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