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MONSIEUR KLEIN - ALAIN DELON BOX OFFICE 1976
MONSIEUR KLEIN
27 OCTOBRE 1976
- Réalisation : Joseph Losey
- Scénario : Franco Solinas
- Production : Raymond Danon, Alain Delon, Norbert Saada pour Adel Productions
- Musique : Egisto Macchi et Pierre Porte
- Photographie : Gerry Fisher
- Cadre : Pierre-William Glenn
- Pays d'origine : France, Italie
- Format : Couleurs / son Mono / 35 mm
- Genre : Drame
- Durée : 123 min
- Tournage : 1er décembre 1975 / 11 février 1976
- Distribution : FOX-LIRA
- Alain Delon : Robert Klein
- Jeanne Moreau : Florence
- Francine Bergé : Nicole
- Juliet Berto : Jeanine
- Jean Bouise : le vendeur l'autre Klein
- Suzanne Flon : la concierge
- Massimo Girotti : Charles
- Michael Lonsdale : Pierre
- Louis Seigner : le père Klein
- Pierre Vernier : un policier
- Etienne Chicot : un policier
- Gérard Jugnot : le photographe
SYNOPSISEn 1942, dans le Paris de l'occupation allemande, Robert Klein, quadragénaire riche et séduisant, est de ces hommes pour qui la persécution des juifs par le régime pétainiste est une source de profits. Ainsi le voit-on acheter à l'un d'entre eux un tableau de maître à un prix fort bas. Ce même jour, il trouve sous sa porte un exemplaire du bulletin "Les Information juives", portant son nom et son adresse. Inquiet, il enquête et découvre que son nom figure sur le fichier de la Préfecture. Alors que les autorités voient en lui un suspect, il découvre de façon sûre que le Robert Klein en question n'est qu'un homonyme, dont il parvient à trouver l'adresse. Mais cet homme demeure introuvable, son entourage affirme ignorer où il se trouve, que ce soit la concierge de son immeuble ou Florence, femme au charme étrange, rencontrée au cours d'une soirée dans un château de banlieue. Impossible également de rencontrer la jeune maîtresse de Klein, que différentes personnes disent avoir connue sous des prénoms différents. L'appartement et les biens de Robert Klein sont saisis par la police, ce à quoi Pierre, son avocat et ami, ne peut rien... pour autant, du reste, qu'il le veuille réellement. Robert Klein n'a, alors, d'autre choix que de s'enfuir. Dans le train pour Marseille, il rencontre la jeune fille mystérieuse aux multiples prénoms... Une pensée soudaine le fait alors rentrer à Paris, en pleine nuit. Ayant compris que celui qui est maintenant devenu son "double" vit à l'adresse connue, mais uniquement la nuit, il lui téléphone de chez Pierre, lui disant souhaiter le rencontrer. Rendez-vous est pris, mais Robert Klein arrive trop tard; prévenue par Pierre, la police est déjà là... Pris dans la rafle du Vel' d'Hiv', Klein, à la poursuite de l'autre, se laisse emporter dans le flot des juifs. Direction: les camps nazis.
ANALYSE ET BOX OFFICE
Alain Delon a apprécié son travail avec Joseph Losey sur " L'assassinat de Trotsky". Un film "difficile" et surtout non commercial ce qui aurait pu influencer DELON a ne pas prendre de risques financiers, mais il n'est pas homme à ne pas relever de défis. "Monsieur Klein" sera un film ambitieux, au budget de 20 millions de francs et qui peut se regarder sous différents angles. Car, "Monsieur Klein" n'est pas seulement attaché au personnage éponyme, mais dresse un portrait très subtil mais sans complaisance sur un des épisodes les plus noirs de l'histoire de France: la raffle du Vel' d'Hiv (bien avant le succès de "La raffle" en 2010).
On pouvait craindre de la part de Joseph Losey, cinéaste anglais apprécié de la critique française, un film quelque peu alambiqué, il se révèle pourtant très académique sans pour autant perdre ses qualités.
Le film s'ouvre sur une scène des plus sordides. Un médecin examine une femme nue d'une manière humiliante pour déterminer son taux de "juiverie" selon des critères anamorphiques bien étranges. Une scène crue, qui donne le ton du film. L'étude de la répression juive sera froide, clinique, documentaire.
Le film s'intéresse ensuite à Robert KLEIN un riche marchand d'art qui se fait du beurre sur le dos des juifs en rachetant des oeuvres d'art à vil prix en profitant de la situation difficile rencontrées par les juifs (besoin d'argent pour fuir.). Arrogant, peu intéressé par la cause juive, voire par le genre humain en général, il est entouré par une cour de bourgeois qui profite de son appartement cossu où le champagne coule à flot.
Un petit détail va mettre tout en l'air, il y aurait apparemment un autre Robert Klein, un homonyme juif, recherché par la police. Une erreur bien sûr, liée à cette homonymie, mais trop tard. la police s'intéresse à lui. Il recherche à tout prix cet autre "moi", mais à chaque fois, "l'autre" est insaisissable et les "preuves" se retournent contre lui.
Petit à petit la méfiance s'installe autour de lui. Les faux amis se détournent. Certains vont même se faire de l'argent sur son dos, profiter de la situation...L'arroseur arrosé en quelques sorte. Le film tourne un peu à la schizophrénie, on ne sait plus si le "faux KLEIN" n'est pas "le vrai Klein". D'ailleurs le héros du film commence à en douter lui même en constatant que des membres de sa famille seraient juifs. Dans un final Kafkaïen qui n'est pas sans rappeler "Le locataire" film de Polanski, Robert Klein abandonné de tous finit par accepter sa cause perdue. Il fait partie avec un de ses amis de la terrible raffle du Vel d'Hiv et va vers la mort enfermé dans un wagon à bestiaux...
Le réalisateur utilise cette intrigue pour dresser un portrait sans concession de Paris sous l'occupation, de la traque des juifs organisée par la police française. Les décors sont froids, tristes. La reconstitution du Vel d' Hiv est clinique...Les bus à plateforme, le stade, tout est très documenté. Joseph Losey avait lui même froid dans le dos quand il a réuni toute sa documentation.
Grand film paranoïaque, le casting fantastique est dominé par Alain Delon qui trouve ici un de ses derniers grands rôles, bien aidé par une troupe de grands professionnels : Jeanne Moreau bien sûr appelée par Losey qui l'adore. Michael Lonsdale plus ou moins fidèle, Jean Bouise, Suzanne Flon.
Enigmatique comme son personnage, glacial, Delon livre une prestation peu remarquée par les critiques. Car les critiques s'emballent sur l'oeuvre de LOSEY comme d'habitude. Ce qui est mérité. Reste à voir l'accueil du public.
La date de sortie est une erreur colossale de la part des distributeurs. Le film sort en même temps que "L'aile où la cuisse", la réédition de "20 000 lieues sous les mers" et "Si c'était à refaire" entre autres. Face à une telle concurrence, le film se fait éreinter, et ne figure qu'à une modeste neuvième place au box office parisien. Malgré une belle résistance, le film parvient à attirer près de 300 000 spectateurs sur Paris Banlieue mais la province réserve un accueil épouvantable au film.
Cependant le film est nommé pour la deuxième cérémonie des Césars en 1977. Le film obtient le César du meilleur film et Joseph Losey celui de meilleur réalisateur.
Alain Delon nommé dans la catégorie "meilleur acteur" semble favori avec Patrick Dewaere. Mais à la surprise générale, y compris de l'intéressé, c'est le comique Michel Galabru qui l'obtient grâce au "Juge et l'Assassin". Alain Delon va se brouiller avec l'institution, déjà qu'il avait été oublié avec 'Flic story" l'année précédente (et surtout Jean-Louis Trintignant) . Sans doute l'acteur paye-t-il sa popularité au cinéma mais il aurait du être récompensé....
Deuxième mauvaise nouvelle pour lui, le film est un flop commercial et cela lui coûte très cher. De fait, le film reste une blessure pour lui.
Mais les années ont certainement du panser les blessures, car il reste un sacré bon film à redécouvrir comme il se doit. Il est juste un peu dommage que ce soit un anglais qui a si bien décrit cette période sombre de l'histoire française.
CATEGORIE
RANG
NOMBRE
SALLES
ENTREES FRANCE
711 752
ENTREES PARIS
215 927
ENTREES BANLIEUE
72 392
TOTAL PARIS BANLIEUE (source CNC)
288 319
1ère semaine
9
58 326
18
2ème semaine
8
44 040
3ème semaine
9
41 607
4ème semaine
13
26 139
5ème semaine
11
23 660
Nombre de semaines Paris
13
Moyenne salles Paris 1ère sem
3 240
Budget
20 MF
Cote du succès
* *
AFFICHE ITALIEAFFICHE PAYS-BASAFFICHE YOUGOSLAVIEAFFICHE AMERICAINEAFFICHE TURQUE..
Tags : MONSIEUR KLEIN BOX OFFICE, ALIN DELON BOX OFFICE
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Commentaires
12LaurentMercredi 2 Mars 2016 à 18:13Cher Adda,
Effectivement De Funès eut moins de succès que Belmondo et Delon en Italie. On peut même dire que, des trois, ce dernier régna en maître sur ce territoire. Toutefois quand je parle de star, j’en parle au niveau mondial. Aussi bien du box-office Français qu’international. Et l’international ne se limite pas à la seule Italie. Regardons ça d’un peu plus près :
En Allemagne, où l’on dispose de données conséquentes depuis le début des années 70 (et où on peut connaitre les gros succès depuis 1966), Jean-Paul Belmondo domine légèrement avec 22.4 millions d’entrées pour treize films. De funès vient ensuite avec 22 millions d’entrées, mais pour dix films seulement. Delon est bon dernier avec seulement 1.6 million d’entrées et quatre films.
En Espagne, depuis 1965, notre bébel national totalise 26.8 millions d’entrées sur soixante films. Delon lui atteint les 35.6 millions d’entrées en soixante-dix films. Alors que De Funès dépasse les 36 millions, avec quarante-cinq films seulement.
Au Danemark, depuis 1976, Alain Delon a réuni 98 300 spectateurs, le tout en quatre films (dont les trois-quarts ont été réalisés par un film américain, Airport 80). 96 177 pour De Funès, avec cinq films (mais français). Sur la même période, Belmondo récence 128 979 spectateurs, mais avec sept films.
En suisse, dans les 120 plus gros succès d’entre 1967 et 1985, on trouve cinq films de Belmondo pour 1 784 597 entrées, deux films de De Funès totalisant 777 423 entrées et aucun film d’Alain Delon.
A Athènes (50% du marché Grec dans les années 60-70), depuis 1964, dans le top 10 annuel, Alain Delon y a deux films pour un total de 346 434 entrées. De Funès aussi y a deux films, mais pour seulement 242 391 entrées, alors que Jean-Paul Belmondo totalise 546 908 entrées en trois films (dont 336 062 pour « le casse », plus gros succès de 1971).
En Suède, marché difficile pour le cinéma Français, dans les films ayant eu un succès significatif (à partir de 50 000 entrées, ce qui n’est pas non plus énorme), depuis le début des années 60, Delon et Belmondo ont placé chacun deux films, pour un total de 174 000 entrées pour le premier et 144 000 pour le second. De Funès lui y a cinq films, dont trois à plus de 150 000 entrées. Au total ces cinq films auront attiré 1 310 000 Suédois dans les salles (777 000 pour « la grande vadrouille »).
Aux Pays-Bas, dans le top 20 annuel depuis 1970, il y eut un film de Belmondo (« l’animal », 12ème) et trois films de De Funès (11ème, 11ème et 13ème). Aucun de Delon.
En Belgique, dans le top 10 annuel, depuis 1965, on trouve un film d’Alain Delon (« Mort d’un pourri », 10ème en 1977), 2 films de Jean-Paul Belmondo (meilleur classement avec « l’animal », n° 5 en 1977) et 6 films de Louis De Funès (n°2 en 1965, n°1 en 1966, n°3 et n°8 en 1967, n°3 en 1976 et n° 8 en 1978).
Pour les Etats Unis, je n’ai pas encore compilé tous les chiffres. Mais de ce qui m’apparait déjà, c’est que Delon, Belmondo et Depardieu sont en haut du BO des acteurs Français. Toutefois Delon figura dans de nombreux films Américains et Italiens et tous ses succès réels, il les a connus aux côtés d’autres stars. D’ailleurs son dernier vrai succès aux USA, date 1970, alors que Belmondo réussit à attirés les spectateurs jusqu’en 1975. Et s’il apparait que De Funès fut beaucoup moins attractif outre-Atlantique, il n’empêche qu’en 1991 « Rabbi Jacob » figurait encore à la 24ème place des plus gros succès français aux USA. Aucun film de Delon et Belmondo, dans ce top 50.
De plus De Funès est le seul à avoir mis un film dans un top 10 annuel de Hong Kong (« la grande vadrouille » en 1968). « Rabbi Jacob » est également le seul film Français avec « Emmanuelle » à figurer dans le top 50 des plus gros succès des films étrangers au Brésil (34ème), entre 1970 et 1985 (période faste en termes de fréquentation dans ce pays).
Entre son écrasante domination en Russie, France, Suède, Belgique et Pays-Bas, mais aussi sa position dominante en Allemagne et Espagne et ses succès d’un peu partout dans le monde, je pense sincèrement que De Funès fut la plus grande star du cinéma Français.
Bien sûr, ceci est dit en fonction des chiffres à ma disposition. De plus, nous n’avons pas un BO international assez détaillé pour Jean Gabin, Jean Marais ou Fernandel.
11adda chentoufLundi 29 Février 2016 à 10:20Bonjour Laurent. Vous vous êtes enfin décidé de nous donner des détails sur les fameux 300 films étrangers ayant obtenu le plus de succès dans l'ex URSS entre 1945 et 1990. J'attendais votre réponse depuis longtemps. Alors merci pour toutes ces informations sur un BO peu connu. Je suis d'abord étonné de la cote de Jean Marais dans ce pays oû il cartonnait j'imagine avec ses films de cape et d'épée et avec la série " Fantomas". Bravo à lui ! Pour DE funes, je pense que son succès en Italie fut moindre hormis " La grande vadrouille" (11eme), " Les grandes vacances" et "Oscar" (3 millions chacun) alors que" Le petit baigneur", " Hibernatus" et "La folie des grandeurs" n'ont été respectivement que 76eme, 80eme et 100eme du BO italien et depuis 1971 aucun de ses films ne figure sur le top 100 annuel. Un succès à relativiser par conséquent , comparativement avec Delon et Belmondo qui avaient plus la cote dans ce pays. Maintenant, cher Laurent, si ce n'est pas trop vous déranger ce serait très sympa de votre part de nous communiquer la totalité de la liste de ces 300 films étrangers histoire de se faire une idée précise sur le BO russe de ces année-là. Merci et bonne journée.
10LaurentVendredi 26 Février 2016 à 22:50"Monsieur Klein" a également été boudé au Danemark, avec seulement 4 000 entrées (un bide), et aux Etats unis où il ne rapporta que $112 000. A l'époque Delon avait encore son public outre-Atlantique et c'était un score bien modeste.
9StanMercredi 24 Février 2016 à 14:29Merci Laurent pour ces précisions que j'ignorais. Pour le cinéma italien je savais effectivement qu'il était très apprécié en URSS mais je ne savais pas en revanche que des films US sortaient là bas.
8StanMercredi 24 Février 2016 à 11:04Ces chiffres sont impressionnants effectivement. J'imagine cependant qu'à l'époque les films US ne sortaient pas là bas du coup le cinéma français avait un boulevard devant lui ! Ce qui est intéressant de noter aussi c'est que finalement les stars françaises de l'époque étaient connues à l'étranger grâce à des films français ce qui est impensable de nos jours. Aujourd'hui pour qu'un acteur français soit connu à l'international il doit être à l'affiche d'un film US (cf. Marion Cotillard ou Jean Reno notamment).
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LaurentMercredi 24 Février 2016 à 13:55
En fait, étonnamment, de nombreux films américain sont sortis en Russie, en particulier après 1952. De nombreux films des années 30 sont d'ailleurs sorti cette année-la. Il s'agissait avant tout de films de pur divertissement. L'état y veillait. On ne risquait pas de voir des films "subversifs". Pas de films politiques, donc, mais pas non plus de films tels "la fureur de vivre", de film de gangster, de guerre etc.
Il n'empêche que le cinéma américain était très populaire. Dans le top 300 des films étrangers, il est le cinéma le plus représenté avec le cinéma indien. "Les sept mercenaires" est avec 67 millions d'entrées le deuxième plus gros succès pour un film étranger, et le 9ème du box office Russe, tous films confondus.
Conclusion, le cinéma Français était réellement apprécié du public Russe. Au même titre que le cinéma Italien ET que le cinéma d'Europe de l'Est !
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7LaurentMardi 23 Février 2016 à 22:26En Russie, les 2 films Français qui ont eu le plus de succès sont tous deux des films de cape et d'épées avec Alain Delon : "Zorro" et "la tulipe noire". Respectivement les 12ème et 19ème plus gros succès d'entre 1945 et 1990 pour des films non russes. "Zorro" dépassa les 55 millions d'entrées. Tous films confondus, il reste le 36ème plus gros succès du box office Russe.
Il est toutefois intéressant de détailler un peu plus ces chiffres. Sur les 300 plus gros succès des films étrangers du box office Russe, il y a 5 films d'Alain Delon, 9 films de Louis De Funès, 5 de Jean-Paul Belmondo, 6 de Jean Marais et 3 de Pierre Richard.
Si le meilleur classement pour Alain Delon, parmi les films étrangers, est la 12ème place, pour De Funès il s'agit de la 25ème. Pour Belmondo, la 39ème. Jean Marais atteint la 26ème et Pierre Richard, la 128ème.
Au final Alain Delon cumul, dans ce top des 300 films étrangers ayant eu le plus de succès en Russie, 183 500 000 entrées. Louis De Funès atteint 351 700 000. Jean-Paul Belmondo franchit les 170 200 000. Jean Marais totalise 187 300 000 et Pierre Richard arrive à 78 900 000.
C'était une époque différente, où les stars du cinéma Français étaient également de vraies stars internationales. Quand au fait qu'Alain Delon était peut être la plus grande star que nous ayons eu, au vu des chiffres que j'ai sur le box office mondial, je pense qu'il s'agit en fait de Louis De Funès. Car contrairement à ce que l'on pourrait croire, il fut extrêmement populaire dans le monde entier. On en parle jamais, pourtant, outre la Russie, il connut d'importants succès en Espagne, en Italie, en Allemagne, en Amérique du sud et même aux Etats Unis. Sans parler de la France où il domina outrageusement le box office pendant 20 ans.
Bonjour Stan
Difficile vous vous doutez de connaitre les chiffres des entrées de cette éposue. Néanmoins Alain DELON était très apprécié dans les pays européens. On peut dire sans se tromper que ce fut peut être la plus grande star que nous avons eu ( je n'oublie pas bien sûr De FUNES, BELMONDO, BARDOT) . Je crois que Zorro a fait plusieurs dizaines de millions d'entrées en Russie par exemple.
En tout cas merci de consulter le site.
5StanMardi 23 Février 2016 à 15:13Bonjour, je consulte ce site régulièrement et le trouve super bien documenté. Pour Monsieur Klein j'ai vu que vous avez notamment mis en illustration l'affiche Yougoslave. Je crois savoir que le cinéma français marchait très fort là bas et notamment les films de Louis de Funès. En revanche savez vous en terme d'entrées à quoi cela correspondait il ? Souvent les chiffres dans les pays de l'est à l'époque étaient particulièrement élevés.
4StanMardi 23 Février 2016 à 14:59Un chef d'oeuvre ! Alain Delon dont je ne suis pourtant pas super fan est excellent dans ce film. Pour moi sa plus belle composition avec celle du film "Rocco et ses frères".
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Bonjour Laurent,
Une nouvelle fois, merci beaucoup pour toutes ces infos très intéressantes !!!
J'espère qu'Adda saura apprécier vos commentaires à leur juste valeur ! Et réaliser que toutes ces données-chiffrées il/on ne peut les trouver qu'ici ! Et ceci, grâce à vous...
J'aurais tendance à vous demander : "on vous doit combien, docteur ?"
Merci Renaud. Didier, c'est intégralement pris en charge par la Sécurité sociale.
Merci à Laurent pour poster sur ce site qui est je crois, de qualité... Ne l'usez pas trop Adda, nous avons bien besoin de ses commentaires éclairés et documentés.