• LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE - BOX OFFICE BRIGITTE BARDOT 1958

     

    LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE

     

    16 AVRIL 1958

     

     

    LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE - BOX OFFICE BRIGITTE BARDOT 1958

    Réalisation

    Roger VADIM

    Scénario

    Roger VADIM

    Peter VIERTEL

    Directeur de la photographie

    Armand THIRARD

    Musique

    Georges AURIC

    Production

    Raoul J LEVY

    Distribution

    Columbia

    Durée

    95 minutes

    Tournage

    Juin 1957 / juillet 1957

    Ursul

    Brigitte BARDOT

    La tante Florentine

    Alida VALLI

    Lambert

    Stephen BOYD

    Le comte Ribera

    Pepe NIETO

     

     

    Ursula, au sortir du couvent, part en Espagne chez son oncle, le comte Ribera. A la descente du train, elle voit retirer d'un puits une jeune fille qui s'est suicidée. Elle arrive chez l'oncle escortée par un grand jeune homme, Lambert, qui a sauté sur le pare-choc arrière de la voiture : c'est le frère de la morte qui vient demander des comptes à Ribera, l'accusant de l'avoir déshonorée ; Lambert est roué de coups, assommé et jeté à la porte. Mais recueilli et soigné par Ursula, celle-ci s'en éprend, comme Florentine, femme de Ribera, s'en est éprise. tente de violer sa nièce. Celle-ci le repousse. Le lendemain, Ursula et Florentine retrouvent Lambert à la « novillada » de la ville voisine ; il donne rendez-vous à Florentine pour le soir, tandis qu'Ursula joue au torero. Lorsque Lambert arrive chez Ribera, c'est ce dernier qu'il rencontre et pour se défendre, le poignarde puis il va passer la nuit avec Florentine, suscitant la jalousie d'Ursula. Au matin, il avoue à Florentine que son geste n'était fait que pour se créer un alibi. Le chef de la police, ami de Ribera, ne tarde pas à soupçonner Lambert et Florentine, blessée dans sa passion, le pousse à arrêter le jeune homme. C'est Ursula qui l'emmènera en voiture alors qu'il a déjà les menottes aux mains. Désormais, ils vont mener une vie errante et traquée ; l'espoir d'un embarquement s'étant révélé illusoire, le couple, devenu amants, s'enfonce dans la sierra. A mesure que les jours passent, Ursula s'épuise. Devant la situation, Lambert décide de se livrer après avoir remis l'adolescente à sa tante. Ursula ne l'entend pas de cette oreille et lorsque les carabiniers viennent saisir Lambert, Florentine ne peut l'empêcher de se jeter vers lui et de tomber sous les balles des soldats.

    ****************************************

    Une critique très partagée - plutôt défavorable, dans l'ensemble - accueillit ce troisième long métrage de Roger Vadim (il avait signé auparavant le fameux ET DIEU CREA LA FEMME et SAIT-ON JAMAIS?). Cela allait de "Moi, je suis pour LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE" par lequel Georges Sadoul commençait son article dans "Les lettres françaises" à "C'est un beau documentaire sur l'Espagne" (André Dubois), en passant par "C'est le brouillon d'un beau film à venir" (Jean de Baroncelli dans "Le Monde"). Roger Vadim répondait à cette petite polémique en expliquant: "Du roman d'Albert Vidalie, je n'ai gardé que la situation de base: l'amour d'une jeune fille et d'un aventurier. Je n'ai pas cherché à approfondir la psychologie des personnages, mais j'ai voulu faire un western moderne qui se passe en Espagne, le dernier pays romanesque d'Europe"... Quant à Brigitte Bardot, elle était déjà devenue l'immortelle "B.B." consacrée par ET DIEU CRÉA LA FEMME un an avant.

     

    De fait VADIM propose un film fort bien photographié et haut en couleurs, il faut dire que les magnifiques paysages espagnols s'y prêtent. Certes, la romance entre BARDOT et le figitif n'est pas très vraisemblable mais le réalisateur se fait plaisir en réalisant ce film. Il connait le potentiel érotique de sa femme et en use fort habilement. Brigitte apparait en petite tenue dans la première partie du film et on peut apercevoir son ombre nue dans la salle de bains. Ensuite elle sera vêtue d'une petite robe durant sa cavale et se battra avec le fugitif pour l'empêcher de tuer un jeune animal pour se nourrir. Sa robe sera déchirée, ne laissant pas grand chose sur le dos de la superbe actrice, très en beauté. Brigitte n'a pas à hausser son talent, sa beauté suffit amplement à VADIM. Du reste si le film prend facilement la tête des exclusivités parisiennes, il ne réédite pas l'exploit de leur précédente collaboration, le film réalise au final un fort honnête score pour un film qui ne l'est pas moins. Etrangement, le film est aujourd'hui un peu oublié dans la filmographie de l'actrice, et le film ne passe pas à la télévision.

     

     

    ENTREES France

     

    2 134 822

     

     

    Total ENTREES Paris

     

     

    423 312

     

    ENTREES PARIS 1ère exclusivité

    112 129

    ENTREES Paris

     

    1ère semaine n°1

    2ème semaine n°2

     

     

     

    61 200

    50 929

     

    NOMBRE DE SEMAINES PARIS

    2

    NOMBRE DE SALLES Paris semaine de sortie

    3

    Moyenne entrées par salles 1ère semaine

    20 400

    COTE DU SUCCES

    * *

     

    PAS DE BANDE ANNONCE DISPONIBLE

    EXTRAIT DES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE

     

    BRIGITTE BARDOT NUE- LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE 1958

     

     

    BRIGITTE BARDOT NUE- LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE 1958

     

     

    BRIGITTE BARDOT NUE- LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE 1958

     

     

    BRIGITTE BARDOT NUE- LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE 1958

     

     

    BRIGITTE BARDOT NUE- LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE 1958

     

     

    BRIGITTE BARDOT NUE - LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE

     

     

    BRIGITTE BARDOT NUE- LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE 1958

     

     

    BRIGITTE BARDOT NUE- LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE 1958

     

     

    BRIGITTE BARDOT NUE- LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE 1958

     

     

    BRIGITTE BARDOT NUE- LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE 1958

     

     

    LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE AFFICHE DANOISE

     

    BIJOUTIERS-DU-CLAIR-DE-LUNE.JPG

     

     

    AFFICHE FRANCE ALTERNATIVE

     

    LES BIJOUTIERS DU CLAIR DE LUNE - BOX OFFICE BRIGITTE BARDOT 1958

     

     

    AFFICHE FRANCE ALTERNATIVE

     

     

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    AFFICHE ITALIE

     

     

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    AFFICHE US

     

     

     

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    AFFICHE FRANCE

     

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    AFFICHE ARGENTINE

     

     

     

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    AFFICHE YOUGOSLAVIE

     

     

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  • Commentaires

    5
    jerome
    Mercredi 29 Mai 2013 à 05:16
    jerome
    Ce film est un ratage complet. C'est tarte. même à l'époque, ils ont bien du s'en rendre compte! avec des dialogues genre "quel âge as-tu?
    - 33 ans
    - (admirative) l'âge du Christ..."
    c'est bête la plupart du temps. Vadim pouvait faire mieux. le tournage, pour des raisons climatiques fut un cauchemar, et le film pour couronner le tout fut tourné en plusieurs langue: français anglais, espagnol: les acteurs ne se comprenaient pas! et on aurait voulu que la sauce prenne? (même probleme dix ans plus tard pour "Shalako"). Tout de même plus de deux millions de spectateurs! BB était alors une telle attraction! on peut d'ailleurs apercevoir une superbe paire de seins alors au mieux de leur forme ...dans la version non censurée du film...avis aux (a)mateurs!
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    4
    renaud soyer
    Mercredi 29 Mai 2013 à 05:16
    renaud soyer
    C'est vrai les dialogues sont tartes, mais le film est très correctement réalisé et beau à regarder. Du reste Brigitte est superbe comme d'habitude.
    3
    Laurent
    Mercredi 29 Mai 2013 à 05:16
    Laurent

    Bonjour Renaud

    Moi j'aime bien ce film. Les gens sont toujours très durs avec celui ci et c'est dommage. Certains dialogues(pas tous) laissent à désirer mais c'est le cas de nombreux films de l'époque tout de même. Vadim est souvent inégal dans ses réalisations et il eut le bon sens de toujours savoir s'entourer de très bons assistants... Mais il était en revanche très bon technicien, bon montage, beaux plans et travellings très bien utilisés. Bon scénario et  des décors superbes et puis Allida Valli et Stephen Boyd tout de même.. Ce n'est pas rien.

    Enfin Brigitte Bardot aux prémices de sa carrière internationale (Et Dieu... n'est pas encore sorti aux USA), est éblouissante de beauté, elle se débarasse sans complexe de l'attitude mutine et charmante de ses débuts et devient plus femme. Elle transpire, se bat, se débarasse de ses artifices et en devient souvent émouvante.

     

    2
    Renaud
    Mercredi 29 Mai 2013 à 05:16
    Renaud

    Il est vrai que BARDOT était belle à se damner dans ce film !

    1
    Renaud
    Mercredi 29 Mai 2013 à 05:16
    Renaud

    J'ajouterai que la présence de BB en petite tenue blanche sur sa peau bronzée a du causer en 1958 bien des émois dans les salles de cinéma.

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