• IL ETAIT UNE FOIS DANS L'OUEST - BOX OFFICE CHARLES BRONSON ET SERGIO LEONE 1969

     

     

    IL ETAIT UNE FOIS DANS L’OUEST

    (C’ERA UNA VOLTA IL WEST)

    21 DECEMBRE 1968 (ITALIE)

    27 AOUT 1969

     

     


    Réalisation Sergio LEONE
    Scénario Sergio LEONE
    Sergio DONATI
    Dario ARGENTO
    Bernardo BERTOLUCCI
    Photographie  Tonino DELLI COLLI
    Musique Ennio MORRICONE
    Production Fulvio MORSELLA-
    Distribution PARAMOUNT
    Durée 165 minutes
    Tournage Avril 1968 / Juillet 1968
    Harmonica Charles BRONSON
    Frank Henry FONDA
    Jill Claudia CARDINALE
    Cheyenne Jason ROBARDS


    Trois hommes bu bandit Frank vont à une gare attendre un inconnu qui a donné rendez-vous à leur chef. Un inconnu jouant de l’harmonica les abat.Le ferlier irlandais Brett McCAIN attend avec ses trois enfants l’arrivée de sa nouvelle épouse, Jill, une prostituée qu’il à épousée à New-Orléans ; Frank et ses tueurs massacrent toute la famille sans pitié. A son arrivée à Flagstone, Jill ne trouve personne pour l’attendre, elle se fait donc conduire chez McBAIN par Sam un vieil ivrogne. Celui-ci s’arrête à un sordide relais de diligences, où Jill assiste à l’évasion du bandit CHEYENNE qui tue son gardien. HARMONICA est là aussi à CHEYENNE que des hommes en cache-poussière ont tenté de l’abattre, alors que seuls les hommes de CHEYENNE portent ces manteaux. La tension est palpable entre les deux hommes, mais aucun de ne dégaine. CHEYENNE s’en va. JILL arrive à la ferme et découvre le carnage; toute la nuit elle fouille la maison pour trouver de l’or, la seule raison d’après elle du massacre. HARMONICA passe chez l’ignoble blanchisseur WOBBLES, et le passe à tabac pour le faire avouer que c’est FRANK et non CHEYENNE qu’on accuse, qui a massacré les McBAIN. Au matin, alors qu’elle s’apprête à partir, JILL voit entrer chez elle CHEYENNE quivient se disculper. FRANK est réprimandé par son employeur MORTON, riche propriétaire de lignes de chemin de fer, atteint de paralysie, qui ne voulait pas la mort des McBAIN. A nouveau prête à partir, JILL est stoppée par HARMONICA qui lui conseille brutalement de rester, et lui sauve la vie en abattant deux tueurs d FRANK venus finir le travail. Sur ordre de l’inconnu, JILL va chez WOBBLES demander une entrevue avec FRANK. HARMONICA suit WOBBLES jusqu’au train où se trouve FRANK ; s’apercevant de sa présence FRANK fait démarrer le train et capture HARMONICA. Puis le tueur envoie WOBBLES ad patres pour son manque de discrétion. Lorsque FRANK demande son nom à l’inconnu, celui-ci lui répond par les noms de ses victimes. JILL découvre que son mari voulait construire une ville, car son point d’eau était le seul de la région, et que le train y passera forcément. FRANK oblige JILL à vendre ses terres. CHEYENNE intrigué par HARMONICA décide de le délivrer ; HARMONICA lui apprend alors les plans du défunt McBAIN. Alors que la vente aux enchères des terres de JILL va être adjugée aux hommes de FRANK, HARMONICA intervient et offre 5000 dollars : la prime pour la capture de CHEYENNE ; celui-ci est amené au bagne de YUMA par le train de MORTON.HARMONICA sauve la vie de FRANK que ses propres hommes voulaient abattre, achetés par MORTON pour qui FRANK était devenu trop ambitieux. Les hommes de CHEYENNE le libèrent du train, mais il est gravement blessé par MORTON. FRANK arrive sur les lieux de l’attaque : c’est un charnier, les hommes des deux camps sont morts, il regarde MORTON agoniser avec plaisir. Il veut savoir ce que HARMONICA veut de lui et va le chercher chez JILL. Sans qu’il sache pourquoi, FRANK est certain que cette entrevue se terminera par la mort de l’un d’eux. En effet HARMONICA n’accepte de dire à FRANK qui il est, après un duel au révolver. Alors qu’ils se font face, HARMONICA se remémore que lorsqu’il n’était qu’un jeune adolescent, FRANK l’avait placé les mains attachées sous un porche en plein désert avec son frère pendu debout sur ses épaules. FRANK lui enfonce un harmonica dans la bouche avant qu’il s’évanouisse... HARMONICA dégaine et tire à une vitesse foudroyante. FRANK agonise au sol, son vainqueur lui place un harmonica dans la bouche. En rendant son dernier souffle, FRANK se souvient…. HARMONICA retrouve JILL et CHEYENNE. Celui-ci agonise mais ne veut pas le montrer à JILL alors qu’il sait qu’elle éprouve des sentiments pour lui. Il part avec HARMONICA et s’effondre peu après, mort.JILL va donner à boire aux ouvriers qui construisent le chemin de fer, la ville prend forme.

    ************************************

    Ce nouveau film, LEONE ne désire pas le réaliser, assez de westerns selon lui, il a le projet d'une grande fresque sur l’Amérique des années 30. Mais les producteurs lui donnent carte blanche pour tourner un nouveau western ainsi qu’ un budget des plus corrects. LEONE doit se renouveler il fait donc appel à une sacrée équipe pour l’épauler sur le scénario. Il est certain que les pointures qui l’entourent lui donneront une maturité quelque peu absente de ses premiers films. Le scénario est constitué de sous intrigues dans un ensemble qui décrit la naissance d’une nation. Il y a moins d'humour et plus de gravité.

    Clint Eastwood désirant se consacrer à la mise en route d'une carrière américaine décline une participation au film. LEONE se tourne vers Charles BRONSON qui aurait pu intégrer le casting du "Bon la brute et le truand" s'il avait été disponible. Il recrute également Henry FONDA qui n’est plus la superstar des années 40/50 aux USA. En perte de vitesse, tournant de plus en plus dans des séries B, ce superbe acteur accepte d’endosser le rôle de FRANK franche crapule sadique, bien loin du rôle « des raisins de la colère ». Son physique svelte et altier doublé d’un visage parfaitement bronzé qui fait ressortir ses yeux bleus, idéal pour les gros plans, lui permettent d’endosser le rôle de cet ignoble tueur vêtu de noir. Jason ROBARDS acteur de théâtre plutôt intellectuel est très inattendu. Il s’acquitte parfaitement de son rôle de CHEYENNE bandit romantique qui alterne la gouaille et la séduction, quitte à ébranler la belle JILL formidablement interprétée par une Claudia CARDINALE premier vrai personnage féminin dans l’univers de LEONE, il est vrai assez macho. D’une beauté à couper le souffle, elle trouve son meilleur rôle en donnant une réelle intensité à son personnage de JILL, prostituée qui croit avoir découvert le bonheur avant que sa vie ne s’écroule. Formidable battante elle ne s’en laissera pas compter… Son scénario en main, LEONE entreprend son tournage en Espagne sans de véritable problèmes, mis à part que Jason ROBARDS est régulièrement bourré. LEONE va explorer les limites du découpage d’un film. Le film est constitué de différents rythmes, certaines scènes étant étirées à la limite du supportable (pour le spectateur américain…)le tout étant rempli d’incroyables gros plans sur les yeux des protagonistes, véritable marque de fabrique de LEONE.

    Comme d'habitude il est difficile de cerner où sont les bons et les méchants. Certes Frank est une crapule finie, mais LEONE parvient à le rendre intéressant et charismatique. Pour les autres, on ne sait pas vraiment. Harmonica est le héros du film, mais pour la première fois, LEONE introduit un personnage romantique, torturé, et parfois mélancolique. On le découvre sur la tard car ce n'est qu'à la fin que l'on découvre pourquoi Harmonica en veut autant à Frank. C'est d'ailleurs la grande force du film de mélanger les intrigues. En effet le début de l'intrigue n'est pas très clair. Pourquoi la famille est-elle assassiné? A qui profite le crime? Que vient faire Harmonica dans cette histoire? Heureusement tous les points sont éclaircis de manière fort habile durant ce long film. 

    Donc le film est une merveille scénaristique, doublée par la haute virtuosité de LEONE qui délivre des plans d'anthologie tout le long du film. Cerise sur le gâteau, Ennio MORRICONE livre son score le plus célèbre et apporte une plus-value indiscutable au film au point que l'on ne sait plus si c'est la musique qui accompagne le film ou l'inverse. On a rarement vu une telle symbiose au cinéma. En plus de sa virtuosité habituelle, la musique de MORRICONE se fait lyrique, nostalgique dont le point d'orgue est sa célèbre complainte à l'harmonica. La musique du film sera un apport majeur dans la promotion du film. Jamais MORRICONE n'aura été aussi bon que cette année là, quand on pense qu'il a aussi composé dans le même temps la musique du "Clan des siciliens"       

    Il est clair que le film représente le point d’orgue du western, son chant du cygne. On ne peut plus parler de western spaghetti, mais de chef d'oeuvre, tout simplement. Charles BRONSON raconte qu’il n’avait jamais vu un réalisateur Italien maîtriser ainsi un genre pourtant dévolu aux réalisateurs américains. Au final, trois heures anthologiques et sans doute le plus grand western de tous les temps.

    Sergio LEONE signe là son Graal appuyé sur peut être une des plus belle musique de l'histoire, cela fait beaucoup pour un seul film. Inspiré comme jamais, il livre un nombre hallucinant de plans d'anthologie. La scène d'introduction est magnifique car elle associe découpage, beauté des plans et un travail sur les sons extraordinaire. les décors sont magnifiques et on se croirait en plein Far West. Les acteurs sont superbes, LEONE les rend beaux. Jamais BRONSON n'a été autant magnifique.

    Naturellement, le film obtient un succès considérable en Italie avec près de 8 millions d'entrées bien qu'il soit en deçà des films avec Clint Eastwood. En Allemagne le film explose les compteurs avec 13 millions de spectateurs sur plusieurs exploitations.

    Alors que les 3 premiers Leone sont toujours en exploitation en France surtout "Le Bon la brute et le truand" le film va bénéficier d'une très longue exploitation. Le succès est immédiat avec 90 000 entrées sa première semaine en France sur 8 salles et 28 719 entrées au Paramount Opéra. Le film finit l'année 1969 avec 2 030 000 entrées. L'année 1970 est énorme avec 3 627 000 entrées se qui le positionne en 6ème place de l'année. La Bronsonmania est en route et la musique de Morricone a fait un carton sur les ondes. Il fait encore 2 071 000 entrées en 1971 ce lui permet d'intégrer le top 14 de l'année. En 1972 il fait encore 1 120 000 entrées.

    Le film reste 174 semaines de suite à l'affiche sur Paris. Il totalise plus de 3 000 000 d'entrées sur Paris Banlieue.

    Sur la France le film triomphe avec plus de 14 875 000 d'entrées et demeure un des plus grands succès de l'exploitation française.      

    Par contre aux USA, le film obtient un résultat modeste. Sans doute l'absence de Clint Eastwood explique cela.

    Vu que le film n’a pas été un grand succès aux USA, Henri FONDA n’a pas de grands rôles devant lui. Seul l’Europe, encore une fois lui proposera un magnifique rôle dans « Mon nom est personne » un western très Leonien. Pareil pour Jason ROBARDS. Pour Claudia qui est déjà une star en Europe, le film ne fait que confirmer ce statut.

    Pour Charles BRONSON, il y aura donc un avant et un après « il était une fois dans l’Ouest ». Catapulté superstar en France il accède à la célébrité à 48 ans. La France s’entiche de l’acteur qui saura bien en profiter. De retour aux USA, il se marie avec Jill IRELAND et va conquérir la France et l’Europe avec des films d’action calibrés et enfin obtenir son nom en haut de l’affiche, en très gros et avec les cachets y afférent. L’acteur entre dans les années 70 au top après 20 ans de carrière.

    4 ans après la sortie de "Pour une poignée de dollars" Sergio Leone est devenu une légende en France. Un pic de carrière que l'auteur aura bien du mal à confirmer. Et le thème de Morricone reste tout aussi légendaire.

     
     

    CATEGORIE POS NOMBRE SALLES
    ENTREES FRANCE   14 875 030
     
    1ère semaine FRANCE
      90 000
    8
    Date passage 1 million France    octobre 1969  
    Date passage 2 millions France   décembre 1969
     
    Date passage 3 millions France   mars 1970
     
    Date passage 4 millions France   juillet 1970  
    Date passage 5 millions France   septembre 1970
     
    Date passage 6 millions France   mars 1971
     
    Date passage 7 millions France   août 1971  
    Date passage 8 millions France   mars 1972  
    Date passage 9 millions France   mars 1973  
    Date passage 10 millions France   juillet 1974  
    Date passage 11 millions France   septembre 1975  
    Date passage 12 millions France   janvier 1978  
    Date passage 13 millions France   août 1980  
    Date passage 14 millions France   juillet  1982  
    ENTREES PARIS BANLIEUE   + 3 000 000
     
    1ère semaine  1 85 889
    6
    2ème semaine 1 68 790
    6
    3ème semaine   59 630
     9
           
           
    Cote du succès   * * * * * * *
     

     les chiffres ont été communiqués par Didier Noisy. Merci pour son travail de recherche

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    AFFICHE SUEDOISE

     

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  • Commentaires

    4
    Dimanche 8 Février 2015 à 17:20

    Je crois surtout que Bronson n'était pas une vedette aux USA et que le film est d'un ton Européen.

    Mais depuis le film est considéré comme un classique même aux USA.

    3
    Didier Noisy
    Dimanche 8 Février 2015 à 17:09

    ... Et puis, j'ai oublié la reprise de 2014, avec 1875 entrées Paris/p. et 3 437 entrées France (Distributeurs)...

    Laurent, merci une fois de plus de nous apporter ces détails intéresssant... Je pense que le fait que Henry Fonda joue un tueur froid et sans scrupule a dut aussi être pour quelque chose dans l'échec du film au USA. Lui qui pendant des décennies avait joué les "good men" au grands coeurs... Imaginez, par exemple, que Sergio Leone ait proposé ce rôle à James Stewart, ça aurait un même rejet de la part du public américain !

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    2
    Laurent
    Dimanche 8 Février 2015 à 10:03

    En fait de ce que j'ai pu en lire, le film fut un échec aux USA car trop long et contemplatif. Le public (et le studio) attendait un film d'action et il ne fut pas servi dans ce registre. Les critiques ne furent pas unanimes non plus, bien que le plus souvent le film fut apprécié. Aujourd'hui le film est reconnu à sa juste valeur, et est considéré par les amateurs de westerns et de classiques comme un "masterpiece".

    1
    Didier Noisy
    Dimanche 8 Février 2015 à 05:14

    Hello Renaud,

    Bon ben tu vois, ça le fait ! En voilà une fiche de film (mythique !) qui en jette !!! cool

    Maintenant, je peux comprendre que ça pourra frustrer certains lecteurs de n'avoir "que" les chiffres (tirés du fichier CNC du film) arrondis ! Mais, malheureusement, c'est la seule manière de pouvoir garder une certaine exclusivité sur ces résultats, avant que d'autres sites bien connus ne s'empressent de les recopier !!! 

    Bon, comme tu sais que j'aime bien faire du mal aux mouches, tu pourrais aussi mettre l'accent sur les différentes reprises du film :

    - celle de 1976, avec 52 805 entrées Paris/p. (Ciné-chiffres) et 368 000 entrées France (CNC), arrêtées au 31 décembre 1976

    - celle de 1980, avec 73 266 entrées Paris/p. et 349 000 entrées France (CNC), arrêtées au 31 décembre 1980

    - celle de 1982, avec 149 407 entrées Paris/p. et 346 000 entrées France (CNC), arrêtées au 31 décembre 1982

    - celle de 1986, avec 34 734 entrées Paris/p. et 83 000 entrées France (CNC), arrêtées au 31 décembre 1986

    - celle de 1988, avec 10 214 entrées Paris/p. et 21 000 entrées France (CNC), arrêtées au 31 décembre 1988

    - celle de 1990, avec 3 375 entrées Paris/p. et 6 700 entrées France (CNC), arrêtées au 31 décembre 1990

    - celle de 2010, avec 4 129 entrées Paris/p. et 7 090 entrées France (CNC), arrêtées au 31 décembre 2010

     

    Pour celles et ceux qui ont plus l'habitude de voir les résultats cumulés par rapport aux nombres de semaines, voici le détail des 5 premiers paliers millionnaires du film :

    - 1 million France en 9ème semaine

    - 2 millions France en 17ème semaine

    - 3 millions France en 29ème semaine

    - 4 millions France en 46ème semaine

    - 5 millions France en 57ème semaine

     

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