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DON CAMILLO MONSEIGNEUR - FERNANDEL BOX OFFICE 1961
DON CAMILLO MONSEIGNEUR
1er DÉCEMBRE 1961
- Titre original : Don Camillo monsignore... ma non troppo
- Réalisation : Carmine Gallone
- Scénario : Léo Benvenuti, Piero de Bernardi d'après les personnages de Giovannino Guareschi
- Dialogues français : René Barjavel
- Photographie : Carlo Carlini
- Production : Gianni Cecchin ; Angelo Rizzoli (exécutif)
- Sociétés de production : Francinex (Paris), Cineriz (Milan)
- Sociétés de distribution : Cinédis (France), Cineriz (Italie)
- Format : Noir et blanc - 35 mm - 1,37:1 - son mono
- Genre : Comédie
- Tournage : 22 mai 1961 - 30 juin 1961
- Durée : 109 minutes (Italie) ; 118 minutes (France)
- Fernandel : Don Camillo
- Gino Cervi : Giuseppe Bottazzi dit Peppone
- Leda Gloria : Maria Bottazi, épouse de Peppone
- Karl Zoff : Walter Bottazzi, fils de Peppone
- Gina Rovere : Gisella Marasca, la camarade du parti
Don Camillo et Peppone sont devenus respectivement « Monsignore » et sénateur. Ils se rencontrent par hasard dans le train qui les ramène à Brescello. Une fois de nouveau rassemblés dans leur pays, ils reprennent la lutte comme au bon vieux temps. Le premier conflit concerne la construction d’une Maison populaire qui demanderait la démolition d’une petite chapelle. Les autres différends qui les opposent sont d’une part le mariage civil souhaité par Peppone pour son fils et un outrage subi par Gisella, une camarade du parti.
CATEGORIE POS NOMBRE SALLES ENTRÉES FRANCE 8 4 280 238 1ère semaine 57 515 10 2ème semaine 2 242 263 39 3ème semaine 1 448 866 65 4ème semaine 1 216 696 48 5ème semaine 1 138 821 37 6ème semaine 2 126 919 35 7ème semaine 3 110 733 36 8ème semaine 5 92 501 43 9ème semaine 6 110 224 47 ENTRÉES PARIS BANLIEUE 900 000 1ère semaine 3 26 190 2 2ème semaine 6 26 231 6 Cote du succès * * * * ..Tags : DON CAMILLO MONSEIGNEUR BOX OFFICE, FERNANDEL BOX OFFICE
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Commentaires
1renaudMercredi 29 Mai 2013 à 05:53Oui il y avait la ^patte" Duvivier quand même.Suivre le flux RSS des commentaires
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C'est toujours un plaisir de la retrouver, même si les personnage vieillissent, le rythme se fait plus lent, qu'importe.
C'est vrai comme tu dis, quand on tient un bon filon, et bien y a qu'a l'utiliser, notre fernandel serai bien bête de sont passer.
Au jourd'hui du combat contre le communisme, il ne reste plus grand chose, ça ne parle plus autant qu'a l'époque, reste des films qui n'ont d'autre but que de divertir, c'est deja pas mal.
Faut quand même avouer que se sont les deux premiers, realisé par le grand Duvivier, qui son les meilleures.