• DES HOMMES D'HONNEUR - TOM CRUISE BOX OFFICE 1992


    DES HOMMES D'HONNEUR

    USA : 25 MARS 1983

    16 DECEMBRE 1992

     

     

    DES HOMMES D'HONNEUR - BOX OFFICE TOM CRUISE 1992

     

    • Titre original : A Few Good Men
    • Réalisation : Rob Reiner
    • Scénario : Aaron Sorkin, d'après sa pièce A Few Good Men
    • Musique : Marc Shaiman 
    • Producteurs : David Brown, Rob Reiner et Andrew Scheinman
    • Coproducteurs : Steve Nicolaides et Jeffrey Stott
    • Producteurs exécutifs : William S. Gilmore et Rachel Pfeffer
    • Directeur de la photographie : Robert Richardson
    • Sociétés de production : Castle Rock Entertainment, Columbia Pictures Corporation, New Line Cinema
    • Budget : 33 000 000 $
    • Pays : Drapeau des États-Unis États-Unis
    • Langue : anglais
    • Couleur : Technicolor
    • Son: Dolby SR
    • Genre : drame
    • Durée : 138 minutes
    • Tom Cruise (VF : Serge Faliu ) : le lieutenant Daniel Kaffee
    • Jack Nicholson (VF : Jean-Pierre Moulin ) : le colonel Nathan R. Jessep
    • Demi Moore (VF : Marie Vincent ) : le lieutenant Cdr. JoAnne Galloway
    • Kevin Bacon (VF : Philippe Vincent) : le capitaine Jack Ross
    • Kiefer Sutherland (VF : Vincent Violette) : le lieutenant Jonathan Kendrick
    • Kevin Pollak (VF : Jacques Bouanich) : le lieutenant Sam Weinberg
    • J. T. Walsh (VF : Michel Derain ) : le lieutenant colonel Matthew Andrew Markinson


      SYNOPSIS



    Un jeune Marine, William Santiago, de la base de Guantanamo Bay à Cuba, conspué parce que faible, est mort sous les coups de deux camarades, Downey et Dawson. Ces deux derniers se voient assignés comme défenseur le lieutenant Kaffee, jeune avocat qui passe pour nonchalant et vit dans la crainte de n'être que l'ombre de son père, dont la réputation dans la Marine est encore vivace sept ans après sa mort. D'abord hostiles et murés dans leur mutisme, les deux inculpés disent avoir agi sur ordre du lieutenant Kendrick, dans le cadre d'une action disciplinaire occulte désignée sous le nom de Code rouge. Piqué au vif et stimulé par son adjointe, JoAnne Galloway, Kaffee, assisté du lieutenant Weinberg, décline l'arrangement proposé par le procureur, le capitaine Jack Ross : un verdict clément en échange du retrait de toute accusation concernant des supérieurs. Peu après l'ouverture du procès, Kaffee est contacté secrètement par le lieutenant-colonel Markinson, second de la base de Guantanamo Bay, qui s'accuse d'avoir falsifié tous les rapports sur la mort de Santiago, suivant en cela les ordres du commandant, le colonel Jessep. Kaffee voulant bien évidemment le citer comme témoin, Markinson se suicide, non sans laisser aux parents de Santiago une lettre expliquant que la mort de leur fils n'a qu'une raison : il n'a pas su l'empêcher. Au risque de briser sa propre carrière, Kaffee obtient que soit cité à la barre le colonel Jessep lui-même. Victime du pari et du coup de bluff du jeune avocat, l'officier promis à de hautes fonctions se laisse piéger par son orgueil et son fanatisme : il clame bien haut que c'est lui, en effet, maître tout-puissant de son unité, qui a ordonné le Code rouge. Il est arrêté sur-le-champ. Les deux accusés sont libérés et condamnés à l'exclusion du corps des Marines. Ils ont failli à leur mission : se battre pour protéger le faible.

     





    BOX OFFICE FRANCE :  1 035  725
    BOX OFFICE PARIS    :        282 000
    1ère semaine Paris :            71 006
    COTE DU SUCCES   :          *    *  

     

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