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BOX OFFICE PARIS DU 30/03/1955 AU 05/04/1955
TITRE
SEM
ENTREES
CUMUL
REALISATEUR
ACTEUR
ACTEUR
CA VA BARDER
1
69 296
BERRY
CONSTANTINE
BRITT
NAPOLEON
2
63 371
144 802
GUITRY
BRASSEUR P.
GUITRY
FENETRE SUR COUR
1
60 627
HITCHCOCK
STEWART
KELLY GR.
LA LANCE BRISEE
4
33 322
211 021
DMYTRYK
TRACY
WAGNER
LA TOUR DE NESLE
3
32 835
127 789
GANCE
BRASSEUR P.
BOUQUET
LES FEMMES MENENT LE MONDE
1
32 696
NEGULESCO
WEBB
BACALL
FORTUNE CARREE
3
23 705
123 206
BORDERIE
MEURISSE
ARMANDARIZ
LES PEPEES FONT LA LOI
1
22 107
ANDRE
DE FUNES
GAVEN
LA STRADA
4
19 350
76 757
FELLINI
QUINN
MASINA
MARIANNE DE MA JEUNESSE
3
16 131
60 689
DUVIVIER
VANECK
VIDAL
JE SUIS UN AVENTURIER
2
15 378
42 527
MANN
STEWART
ROMAN
PAIN AMOUR ET JALOUSIE
5
13 107
108 049
COMENCINI
DE SICA
LOLLOBRIGIDA
LES AMANTS DU TAGE
3
13 005
63 156
VERNEUIL
GELIN
ARNOUL
L'ASSASSIN PARMI EUX
2
10 237
31 456
LAVEN
CRAWFORD
ROMAN
SABRINA
9
3 680
331 762
WILDER
BOGART
HEPBURN
La génération actuelle l'a oublié, ou ne le sait pas. Eddie CONSTANTINE fut une énorme star populaire dans les années 50. "Ca va barder" ne déroge pas à la rêgle, le film fera plus de 700 000 entrées en fin de carrière.
"Fenêtre sur cour" est un des plus grands classiques de sir "Alfred". Le public ne s'y trompe pas et se rue dans les salles pour voir le dernier thriller du réalisateur. Pour l'occasion James STEWART, moins apprécié lorsqu'il sort un western, remonte au Box Office. A noter la belle résistance de "la Strada" et de "Sabrina" deux classiques du cinéma.
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Commentaires
2cedricMercredi 29 Mai 2013 à 03:451renaudMercredi 29 Mai 2013 à 03:45je ne suis pas un spécialiste des films d'Eddie CONSTANTINE, c'est avec plaisir que nous prenons connaissance de tes commentaires. D'autant plus que tu vas en avoir besoin, car il a eu pas mal e films qui ont bien fonctionné, donc à ta plume!
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Eddie Constantine fait pour moi partie des comédiens dont le grand succès, durant une décennie,
est incompréhensible. Avec des films qui ne me semblent pas être d'un grand intéret.
Mais il est vrai qu'il faut se reporter au public des années 50, dont la plupart des spectateurs étaient nés avant guerre,
à des années lumière de ceux des décennies suivantes.