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BOX OFFICE PARIS DU 04/02/1959 AU 10/02/1959
TITRE
SEM
ENTREES
CUMUL
REALISATEUR
ACTEUR
ACTEUR
PASSEPORT POUR LA HONTE
1
59 224
59 224
RAKOFF
CONSTANTINE
DORS
SUEURS FROIDES
2
50 577
106 603
HITCHCOCK
STEWART
NOVAK
LES RENDEZ-VOUS DU DIABLE
2
46 104
89 136
TAZIEFF
DOCUMENTAIRE
LE CAUCHEMAR DE DRACULA
1
38 551
38 551
FISHER
LEE
CUSHING
LES NUS ET LES MORTS
2
37 303
82 069
WALSH
RAY
NICHOLS
LE VENT SE LEVE
2
36 975
85 532
CIAMPI
JURGENS
DEMONGEOT
LE FAUVE EST LACHE
3
33 948
133 853
LABRO
VENTURA
FRANKEUR
LE SALAIRE DE LA VIOLENCE
1
27 604
27 604
KARLSON
VAN HEFLIN
HUNTER
LA LOI
3
26 581
88 590
DASSIN
MASTROANNI
MONTAND
MOI ET LE COLONEL
4
24 274
119 283
GLENVILLE
KAYE
JURGENS
L' IMPLACABLE POURSUITE
1
22 231
22 231
CARLSON
CALHOUN
LARCH
LES TRICHEURS
18
17 020
546 109
CARNE
PETIT
CHARRIER
LES AMANTS
14
11 730
324 436
MALLE
MOREAU
BORY
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Commentaires
3cedricMercredi 29 Mai 2013 à 03:51Répondre2Agent007Mercredi 29 Mai 2013 à 03:51Il est très intéressant de noter que "Le cauchemar de Dracula" fait une bonne première semaine. On doit beaucoup à la Hammer en France. Ce sont les premiers films d'horreur à avoir eu une distribution "ambitieuse" (entre guillemets) et ce sont les premiers films à avoir fait accepter le cinéma d'horreur dans notre beau pays. Les superbes films d'épouvante de la Universal, Warner Bros et autres RKO (produits de 1931 à 1936, puis de 1939 à 1946) n'avaient jamais fait beaucoup de bruit ici (alors qu'ils sont de grands classiques au succès relativement énorme aux USA). Bela Lugosi et Boris Karloff ont commencé à avoir une réelle notoriété en France le jour où les films de la Hammer ont dépoussiéré le genre. Avant, Karloff n'était vaguement connu que comme la créature de Frankenstein...
Mais si Lugosi et Karloff (on pourrait également citer Lon Chaney Jr ou Claude Rains) ont surtout une notoriété dans le milieu cinéphile, les films de la Hammer, eux (avec Peter Cushing et Christopher Lee en tête d'affiche), ont su se faire aimer d'un assez large public. Si je préfère amplement la période américaine située entre 1931 et 1946 (l'un de mes genres préférés), je dois avouer que j'aime énormément le style Hammer, so british...
Ici, dans "Le cauchemar de Dracula", on assiste à une histoire très libre avec le roman, extrèmement bien réalisée (Fisher avait un coup de caméra assez magique quand même), au rythme jamais lent, et à l'interprétation impeccable de ses deux (pas encore à l'époque) stars. Tout le monde adore raconter que Christopher Lee est le Dracula par excellence (perso, ce sera Bela Lugosi) et qu'il est un grand acteur. Soit, ils ont raison. Il est superbe. Mais pour ma part, je préfère me contrer sur Peter Cushing, que j'ai toujours trouvé incontestablement meilleur (l'un de mes acteurs anglais préférés avec Roger Moore et Michael Caine) : une présence glaciale, une facilité déconcertante pour passer d'un registre à l'autre, beaucoup de prestance, un magnétisme méritant tous les superlatifs, et bien sûr un jeu de très très haute tenue. Un grand acteur qui culmina dans le rôle de sa vie : celui du baron Frankenstein (qu'il interpréta 5 fois pour Fisher et une autre fois pour Freddie Francis dans un film qui n'a rien à voir avec les autres), un rôle pour lequel il donna une interprétation plurielle (similaire dans chaque film, mais avec des côtés éxacerbés à chaque fois différents) et inoubliable.
Ici, en Van Helsing, il fait déjà merveille !!1renaudMercredi 29 Mai 2013 à 03:51Je reconnais beaucoup de qualités à divers traitements du mythe DRACULA, que ce soit celui de COPPOLA, ou autres,mais rien ne vaut le romantisme, la grande classe alliés à une vision d'épouvante jamais égalée de Christopher LEE. Un acteur formidable qui mériterait un traitement d'analyse, bien que je n'ai vu qu'une parcelle de son immense filmographie( en terme de nombre de films bien sur !)
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