•  

    COTTON CLUB

    (THE COTTON CLUB)
     2 JANVIER 1985

     

      COTTON-CLUB.JPG

    Réalisation

    Francis Ford COPPOLA

    Scénario

    Mario PUZO / FF COPPOLA

    Directeur de la photographie

    Stephen GOLDBLATT

    Musique

    John BARRY

    Production

    Robert EVANS

    Distribution

    GAUMONT (ORION aux USA)

    Durée

    128  minutes

    Dixie DWYER

    Richard GERE

    Dalbert WILLIAMS

    Gregory HINES

    Nicky

    Nicolas CAGE

     

    Harlem, 1928. L'un des cabarets les plus huppés, le "Cotton Club", vit au rythme du jazz, dans une atmosphère de prohibition et de début de krach. Les destinées de deux jeunes hommes, l'un cornettiste, blanc, Dixie Dwyer, l'autre, danseur de claquettes, noir, Sandman Williams, vont graviter autour de cette boîte. Le premier sauve un jour la vie d'un truand, Dutch Schultz, qui lui offre sa protection en échange et promet de l'aider dans sa carrière; ce qui n'empêche pas Dixie de connaître une aventure tumultueuse avec la maîtresse de son protecteur, la belle Vera Cicero. Le second quitte son frère pour entrer au Cotton Club, et se lier avec la ravissante danseuse noire à la peau claire, Lila Rose Oliver. Les années passent, la crise est là et le pouvoir de la pègre s'est étendu. Sur les conseils intéressés de Madden et Frenchy, les patrons du Cotton, Dixie est allé tenter sa chance à Hollywood. Il tourne un premier film qui le propulse très vite au rang de star. Son frère, petit truand, est abattu. Sandman est devenu l'une des attractions principales du cabaret; il s'est réconcilié avec son frère mais perd de vue Lila Rose. Les règlements de comptes se succèdent, Madden, Frenchy et un certain Luciano éliminent Dutch. Dixie retrouve Vera, Sandman revoit Lila Rose, les deux couples quittent le Cotton Club et sa scène transformée en hall de gare, pour prendre le train et quitter New York.

     

    Francis Ford COPPOLA tente de se remettre à flot après le titanesque échec de « coup de cœur » qui a coulé son studio, avec ce projet très ambitieux. Il collabore au scénario de Mario PUZO, comme au bon vieux temps du « Parrain » et réalise cette production fort couteuse produite par un Robert EVANS en quête de succès. Le film bien que techniquement bien réalisé est un peu indigeste, surtout à cause de la piteuse prestation d’un Richard GERE, toujours aussi insupportable. Sorti en hiver 84 aux USA, le film coule face à une concurrence forcenée, en particulier « le flic de Beverly Hills » succès colossal d’Eddie MURPHY et de « Dune ». En France le film connaît un surprenant succès, malgré une sortie par un froid de canard. Ce qui limite la casse au niveau des recettes, la France étant le pays où le film rapporte le plus d’argent. Etant donné que le film est réalisé par COPPOLA, il y a bien sûr un petit rôle pour son neveu, mais une fois encore pas de quoi se faire remarquer. Ca va changer… 

     

    ENTREES France TOUTES EXPLOITATIONS

     

    1 638 929

     

     

    ENTREES Paris 1ère EXPLOITATION

     

     

    565 902

     

    ENTREES Paris 1ère SEMAINE

    134 402

    NOMBRE DE SEMAINES PARIS 1ère exploitation

    38

    NOMBRE DE SALLES  Paris semaine de sortie

    29

    Moyenne entrées par salles 1ère semaine

    4 635

    1er JOUR Paris

    18 827

    Budget

    47 M$

    (95 M$ 2007)

    Recettes US

    26 M$

    (52 M$ 2007)

    COTE DU SUCCES

    * * *

     

    NOMBRE DE LECTURES DE L'ARTICLE :

    <script src="http://www.ovnet.net/cpt/?code=4/58/8033/7/3&ID=414735423" type="text/javascript"> </script>


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique