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OSCAR
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E. MOLINARO
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1967
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FR
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6 123 033
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Bertrand Barnier, un riche promoteur, à la vie paisible et sans souci, ne se doute pas en se réveillant que la journée qui commence va lui être funeste. En effet, l'un de ses employés, Christian Martin, qui fait irruption dans son appartement, vient lui apprendre une série de « tuiles » ; d'abord il demande une augmentation de 100 % sur son salaire , ensuite il demande à Barnier sa fille en mariage ; « elle est déjà, ajoute-t-il, ma maîtresse ». Enfin il révèle à son patron qu'il lui a dérobé la coquette somme de 60 millions en truquant les écritures, et Barnier ne peut rien faire car il révélerait par là même, si on venait à enquêter dans ses comptes, que lui-même a commis de nombreuses fraudes fiscales. Christian Martin se déclare prêt à remettre généreusement cette somme à sa future femme si Barnier accepte le mariage. Au bord de l'apoplexie, Barnier consent à tout, et son premier objectif est pour l'instant de recouvrer ses 60 millions qui consistent en une valise de bijoux que Martin lui remet en échange d'une promesse de mariage. Les choses se compliquent quand Barnier s'aperçoit que la maîtresse de Martin a menti à celui-ci quand elle lui a annoncé qu'elle était la fille du riche promoteur. Barnier pense avoir récupéré ainsi son argent à bon compte mais, au même moment, sa propre fille lui apprend qu'elle est enceinte des oeuvres d'Oscar, le chauffeur de la maison. Dès lors, c'est un perpétuel chassé-croisé qui commence entre Barnier, qui veut conserver ses bijoux et marier sa fille à n'importe qui pour éviter le déshonneur, et Christian Martin qui veut épouser celle qu'il aime et améliorer sa situation financière. Evidemment, tout s'arrangera quand on saura que la maîtresse de Martin était aussi la fille - une enfant naturelle - de Barnier et quand l'autre fille du promoteur retrouvera son Oscar, parti au Pôle Nord. Barnier donnera sa bénédiction à un double mariage qui réconciliera tout le monde.
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TAXI 3
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G. KRAWCZYK
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2003
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FR
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6 108 669
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Un super espion parvient à échapper à un gang en roller grâce à... Daniel et son fameux taxi marseillais ! Comme à son habitude : slalom en ville, 298 kilomètres à l'heure sur autoroute avant de mettre le turbo pour échapper aux pandores. Le quotidien, quoi ! Seulement voilà, pendant ce temps, Émilien, ne dort plus la nuit. En effet, il est obsédé par un gang de "Pères Noël" qui ne cesse de ridiculiser la police marseillaise. Sa compagne Petra est enceinte de 8 mois, et il vient seulement de s'en apercevoir. De son côté, Lili, la compagne de Daniel, lassée de vivre dans un garage (où Daniel passe son temps à perfectionner son bolide), finit par le quitter : ce sera elle ou la voiture ! Quant au commissaire Gilbert, il est suivi en permanence par Qiu, une journaliste helvético-chinoise, qui fait un reportage sur la police française. Qiu assiste à une magnifique échappée du gang des "Pères Noël". Émilien parvient à pister un "Père Noël" et à repérer, grâce à Daniel, le Q.G. des bandits. Mais ces derniers le prennent en otage. Émilien découvre alors que Qiu est le chef de la mystérieuse organisation. Avec Daniel, ils les poursuivent en montagne, jusque sur les pistes, où rien n'arrête le taxi. Enfin, le gang est coffré... au moment où Petra accouche. Daniel et Lili se réconcilient.
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HARRY POTTER ET LES RELIQUES DE LA MORT - 1RE PARTIE
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D. YATES
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2010
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GB
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6 091 047 (+ 36 385)
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Brutus Scrimgeour, le nouveau Ministre de la Magie, tente d’éviter une panique générale : Voldemort et ses Mangemorts ont provoqué la mort de Dumbledore. Pour les protéger, Hermione s’efface de la mémoire de ses parents. Harry, lui, est rejoint par les membres de l’Ordre du Phénix, qui organisent sa fuite. Voyageant avec Hagrid, il est repéré par Voldemort, qui ne peut le tuer à cause de sa baguette. Parvenu chez les Weasley, Harry apprend la mort de Maugrey Fol-OEil. Les Weasley finalisent les préparatifs du mariage de Bill avec Fleur. Pendant les festivités, ils apprennent que le Ministère est tombé aux mains de Voldemort. Les Mangemorts attaquent : Harry, Ron et Hermione s’enfuient. Condamnés à la clandestinité, ils se réfugient dans la maison de Sirius. Grâce à Kreacher, l’elfe de maison, ils pistent un Horcrux (objet dans lequel est enfermé un fragment d’âme de Voldemort)... C’est la terrible Dolorès Ombrage, en charge de la propagande, qui se l’est approprié ! Le trio parvient à s’en emparer, mais ne trouve pas de solution pour détruire l’objet. Pendant leur cavale, ils retrouvent l’épée de Gryffondor, qui leur permet de détruire l’Horcrux. Ils rendent visite à Xenophilius Lovegood, qui leur parle d’un conte consacré aux Reliques de la Mort. Faits prisonniers et livrés à Lucius Malefoy, ils sont libérés par Dobby, qui meurt dans leur fuite. Pendant ce temps, Voldemort s’est emparé de la baguette de Dumbledore : la première des Reliques de la Mort...
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TERMINATOR 2 - LE JUGEMENT DERNIER
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J. CAMERON
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1991
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US
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6 006 342 (+463)
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Nous sommes dans le futur après l'holocauste atomique. Les hommes combattent contre les robots dirigés par un système surnommé Skynet. John Connor commande les résistants humains. Les robots envoient alors un émissaire dans le passé afin de tuer John quand il n'est encore qu'un enfant. Il s'agit de T-1000, une machine meurtrière constituée de métal liquide, ce qui lui permet de changer de forme à volonté. Afin de protéger leur futur chef, les résistants envoient Terminator, un puissant androïde, dans le passé. Terminator sauve John une première fois mais le jeune garçon refuse de prendre la fuite tant que le robot n'aura pas sauvé sa mère, Sarah, enfermée dans un asile psychiatrique. Sarah est bientôt libérée. Avec l'aide du Terminator, elle envisage de tuer le créateur de Skynet pour éviter la catastrophe qui menace la planète. Le savant meurt en détruisant la « puce » qui allait servir à la construction du terrible système informatique. Poursuivis par la police et par T-1000, Terminator et ses amis se réfugient dans une usine. Le robot parvient alors à détruire son rival en le jetant dans une cuve de métal en fusion avant de l'y rejoindre pour ne laisser aucune trace de son passage dans notre époque.
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MIDNIGHT EXPRESS
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A. PARKER
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1978
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GB
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5 974 340
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Les Turcs cherchent un terroriste. C'est un petit trafiquant occasionnel qui leur tombe entre les mains : Billy Hayes a tenté de faire passer deux kilos de « hasch » aux U.SA. et le voila enfermé dans la prison de Sagmalcilar, capharnaüm étrange où régnent la violence, la veulerie et le crime. Et la « magouille », aussi. Mais les avocats que le père de Billy circonvient ne parviennent pas à empêcher une sentence de quatre ans d'incarcération. Les années passent ; quelques jours avant sa libération, Billy apprend qu'un second procès le condamne, cette fois, à trente ans de prison, les Turcs voulant « faire un exemple ». La haine de Billy éclate alors contre ce pays, contre ses habitants. Il se décide à suivre le conseil de Jimmy, un compagnon de détention : emprunter le « midnight express », c'est-à-dire s'évader. Jimmy y pense depuis longtemps, malgré les doutes de Max, l'Anglais, dont la philosophie caustique se noie dans les brumes de la drogue qui circule librement ou presque à Sagmalcilar. Encore faut-il déjouer la surveillance de Ziat, et surtout éviter la colère de Hamidou, brute sadique dont les sévices terrorisent les détenus. De fait, le passage secret est découvert : Jimmy est roué de coups. Billy et Max se vengent du dénonciateur et c'est l'engrenage. Billy se retrouve dans un univers effrayant de l'asile où l'individu n'est qu'une apparence d'homme. Des jours. des mois. Et puis un jour l'espoir : la visite de sa fiancée, Susan, qui a retrouvé sa trace et qui pleure de le voir réduit à l'état de bête et qui l'adjure de résister. Et Billy s'arc-boute. Avec l'argent que Susan lui a donné, caché dans un album, il tente d'acheter Hamidou. Mais le colosse ne connaît que les coups. Au cours de la lutte, il s'empale. Après avoir revêtu l'uniforme de son tortionnaire, Billy Hayes parvient à sortir de Sagmalcilar. Le « midnight express » fonce à toute allure : Billy est libre.
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LES DIEUX SONT TOMBES SUR LA TETE
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J. UYS
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1983
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ZA
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5 950 061
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Dans une tribu isolée de Bochimans du Kalahari, sans contact avec la « civilisation », se produit un miracle : un objet extraordinaire est tombé du ciel. Transparent et très dur, il peut servir de pilon, de flûte, de récipient et de bien d’autres choses encore. Un cadeau des dieux pour ce peuple sympathique où l’on partage tout. Oui mais...Il s'agit en fait d'une vulgaire bouteille de Coca-Cola, qu’un aviateur peu scrupuleux a jetée par-dessus bord. Cette bouteille est si utile que tout le monde en a besoin en même temps. La belle entente d’autrefois fait place à des querelles incessantes. Pour avoir fait un tel cadeau, pas de doute, les dieux sont tombés sur la tête. Le conseil se réunit et décide que Xhixho ira au bout du monde pour rendre aux dieux leur cadeau empoisonné...
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MOURIR D'AIMER
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A. CAYATTE
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1971
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FR/IT
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5 912 514
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Danielle Guenot, 32 ans, divorcée avec deux enfants, était professeur de latin-français dans un lycée de Rouen, un professeur jeune, moderne que les étudiants adoraient. Le joli mois de mai 68 fondit sur la France. Dans l'exaltation, l'enthousiasme du renouveau, Danielle et un de ses élèves, Gérard Le Guen, âgé de 17 ans, s'aperçurent qu'ils s'aimaient. Les parents de Gérard, qui se plaisaient pourtant à afficher des idées libérales, portèrent plainte pour détournement de mineur. On fouilla, on étala la vie de Danielle Guenot. L'Education Nationale la menaça d'exclusion. La justice se mit en branle : on envoya Gérard en pension ; il s'en évada. On le cloîtra dans un asile psychiatrique. On enferma Danielle Guenot en prison parmi des criminelles, des droguées, des prostituées ; elle sortit de cet enfer après que Gérard eut rejoint ses parents. Malgré les épreuves, l'amour de Danielle et de Gérard était resté intact. Ils décidèrent de lutter face à l'opinion. Tout recommença alors. Danielle retourna en prison pour un « crime » qu'elle ne comprenait pas. Et l'espoir l'abandonna peu à peu. Pourtant un procès eut lieu, qui l'amnistia. Mais les Le Guen se portèrent en cassation. Danielle réalisa que l'«affaire Guenot» qui s'ébruitait de plus en plus, ne finirait jamais. Lorsqu'on souffre, il suffit d'un malentendu pour se croire abandonnée, il suffit d'une lettre non reçue à temps pour qu'une femme moralement brisée se suicide.
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