• BERNARD GIRAUDEAU BOX OFFICE

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    France

    PARIS

    Deux hommes dans la ville

    P

    1973

    2 454 112

    668 210

    Poursuite implacable,la

    P

    1974

    79 238

    8 586

    Le gitan

    P

    1975

    1 788 111

    493 516

    Jamais plus toujours

    P

    1976

    75 709

    39 985 

    Juge Fayard dit le shérif, Le

    P

    1977

    1 758 456

    511 069

    Bilitis

     

    1977

    1 437 155

    330 189

    Moi, fleur bleue

     

    1977

    289 609

    98 182

    Et la tendresse bordel

     

    1979

    3 359 170

    818 856

    Le toubib

     

    1979

    1 713 247

    431 642

    La boum

     

    1980

    4 378 430

    776 563

    Croque la vie

     

    1981

    1 083 491

    271 924

    Passion d'amour

     

    1981

    424 125

    159 608

    Viens chez moi j'habite chez une copine

     

    1981

    2 820 169

    680 436

    Grand pardon, Le

     

    1982

    2 182 198

    625 390

    Hecate

     

    1982

    207 364

    103 593

    Meurtres à domicile

     

    1982

    64 245

    32 745

    Ruffian, Le

     

    1983

    3 392 258

    769 498

    Papy fait de la résistance

    P

    1983

    4 103 933

    927 566

    Année des méduses, L'

     

    1984

    1 554 641

    370 044

    Rue Barbare

     

    1984

    2 050 496

    418 389

    Bras de fer

     

    1985

    716 636

    181 858

    Spécialistes, Les

     

    1985

    5 319 533

    1 082 963

    Moi vouloir toi

    P

    1985

    1 410 965

    290 960

    Longs manteaux, Les

     

    1986

    1 451 457

    276 774

    Homme voilé,l'

     

    1987

    85 835

    27 247

    Poussière d'ange

     

    1987

    481 791

    147 027

    Vent de panique

     

    1987

    110 735

    28 780

    Reine blanche, La

     

    1991

    830 861

    179 654

    Après l' amour

     

    1992

    542 174

    214 522

    Drôles d'oiseaux

     

    1993

    57 284

    26 828

    Une nouvelle vie

     

    1993

    52 807

    19 316

    Elles ne pensent qu'à ça

     

    1994

    42 984

    18 917

    Fils préféré, Le

     

    1994

    747 064

    259 462

    Caprices d'un fleuve, Les

     

    1996

    842 653

    205 875

    Ridicule

     

    1996

    2 165 106

    685 077

    La vie silencieuse de Marianna Ucria

     

    1997

    20 800

    11 519

    Marquise

     

    1997

    478 413

    120 368

    Marthe

     

    1997

    143 566

    22 646

    TGV

     

    1999

    3 005

    1 429

    Double de ma moitié, le

     

    1999

    18 742

    8 730

    Une affaire de goût

     

    2000

    478 697

    163 016

    Gouttes d'eau sur pierre brûlante

     

    2000

    68 321

    30 679

    Ce jour là

     

    2003

    112 416

    37 740

    La petite Lili

     

    2003

    577 565

    166 134

    Marins perdus,les

     

    2003

    23 371

    9 322

    Je suis un assassin

     

    2004

    129 012

    49 754

    Chok Dee

     

    2005

    166 640

    56 446

    Domaine perdu, le

     

    2005

    8 243

    3 271

     

    P = participation ou petit rôle

    Merci à Didier pour les chiffres inédits

     

    Amoureux de la mer et ancien mousse dans la marine, il intègre le conservatoire où il obtient les meilleurs prix. Il joue au théâtre et à la télévision où il se fait remarquer en jouant entre autres le rôle d'Isidore Bautrelet dans  la série Arsène Lupin. Au cinéma il joue de petits rôles et reste un espoir du cinéma français jusqu'au début des années 80 où sa très belle gueule et son talent le propulsent enfin au top du box office avec "Le grand pardon", " Viens chez moi j'habite chez une copine" et bien sûr "Les spécialistes" avec Gérard LANVIN. Sportif accompli il joue aussi dans des films violents et originaux comme "Rue Barbare". La quarantaine passée, cet acteur complet et exigeant recherche des rôles forts et complexes. Il devient réalisateur, écrivain, un artiste complet. Au début des années 2000 la maladie le frappe injustement ce qui n'enlève rien au talent de cet acteur charismatique qui résiste longtemps à la faucheuse avant de rendre les armes courageusement. Une très belle filmographie ponctuée de gros succès. 


  • Commentaires

    2
    Didier
    Mercredi 29 Mai 2013 à 03:09
    Didier

    Alain Delon a très vite pris sous son aile ce jeune comédien qui, comme lui, avait un passé et une discipline militaire, en lui offrant des rôles dans 3 de ses productions: "Deux hommes dans la ville", "Le gitan" et surtout "Le toubib". D'ailleurs, Giraudeau a été un temps considéré comme le nouveau Delon, à l'instar d'un Marc Porel (Le clan des siciliens, Big Guns, La horse...) dix ans plus tôt. Mais, désireux de ne pas se laisser enfermer dans des rôles de jeunes premiers, il a vite alterné films commerciaux et films d'auteurs. Outre les films cités dans l'article (ah, "Rue barbare" !), il faut voir ses excellentes compositions, de géologue devenant héros malgré lui ("Les longs manteaux" à redécouvrir), de flic alcoolique ("Poussière d'ange") ou de petit magouilleur pathétique, mais tellement drôle ("Vent de panique").  

    Certainement le meilleur acteur de sa génération, malgré une forte concurrence (Auteuil, Lanvin, Berry, Lhermitte, etc...) 

    1
    adda chentouf
    Mercredi 29 Mai 2013 à 03:09
    adda chentouf

    Un acteur admirable qui a connu son heure de gloire entre 1980 et 1985 avec une série de grands succés qui a culminé avec l'efficace "les spécialistes". Les choix exigeants que s'est imposé Giraudeau aprés l'échec relatif de l'ambitieux "les longs manteaux"ne lui ont plus permis ( excepté "ridicule") de retrouver les faveurs du grand public, nonobstant la qualité des films qu'il a tournés ( notamment "les caprices d'un fleuve" qu'il réalisa " poussière d'ange"et "le fils préféré"). Dommage car il aurait pu concilier avec brio entre films d'auteur et films grand public et devenir une vraie star du cinéma français , un peu à la manière d'un Delon. Sachez qu'en Algérie on a pu voir 3 de ses films au début des années 80: "croque la vie" qui avait moyennement marché , " viens chez moi, j'habite chez une copine" qui a fait un tabac ( mais c'était surtout grace a Michel Blanc !) et le curieux mais formidable "passion d'amour" d'Ettore Scola qui ( comme en  France) désarçonna le public par son histoire pathétique peu conventionnelle.

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