• RUE DES PRAIRIES

     

    21 OCTOBRE 1959

     

     

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    Réalisation Denys de la PATELLIERE
    Assistant réalisateur Pierre GRANIER DEFERRE
    Scénario Denys de la PATELLIERE
    Michel AUDIARD
    Photographie Louis PAGE
    Musique Jean PRODOMIDES
    Production Jean Paul GUIBERT pour
    FILMSONOR
      Alexandre MNOUCHKINE pour
    Les FILMS ARIANES
    Distribution CINEDIS
    Durée 90 minutes
    Tournage 01/06/59-15/07/59
    Henri NEVEUX Jean GABIN
    Louis Claude BRASSEUR
    Fernand Roger DUMAS
    Odette Marie José NAT
    Ernest Paul FRANKEUR

     

     

    Lorsqu'après deux années de captivité Henri Neveu revient, sa femme vient de mourir, laissant auprès du garçon et de la fille nés avant la guerre un tout nouveau-né. Henri considère qu'il a dorénavant trois enfants à élever. Il fait de son mieux, n'épargnant rien, et marque peut-être un léger faible pour le petit dernier, dans sa crainte de ne pas l'aimer assez. Pour Fernand, Henri désirerait des études poussées, ne voulant pas qu'il soit contremaître comme lui ; mais assez peu doué pour le travail abstrait, ce garçon se fait mettre régulièrement à la porte des différentes écoles qui l'accueillent. L'aîné des enfants. Loulou, est devenu champion cycliste et, bientôt professionnel, il admet facilement qu'il soit de bonne publicité de raconter à la presse les mauvais traitements que lui fit autrefois subir son père, et l'opposition mise par celui-ci à sa vocation. La fille, Odette, d'abord vendeuse, est maintenant cover-girl et part vivre chez son amant, un richissime quadragénaire qui l'épousera, croit-elle, après un hypothétique divorce. Les aînés partis, Henri reste seul avec Fernand, mais persuadé que l'avenir de son troisième est dans les études, il le met en pension. Fernand ne peut supporter pareille contrainte ; il s'évade n'ose pas revenir chez lui et suit, sans savoir exactement ce qu'il fait, une prostituée chez qui il se fait ramasser par la police. L'affaire nous mène au tribunal des mineurs. L'avocate ne trouve qu'un moyen pour éviter la maison de correction : qu'Odette et Loulou d'abord informent le Tribunal - et Fernand - qu'Henri n'est pas son véritable père, et qu'ensuite l'un et l'autre témoignent de l'« incompréhension », de la « violence », des « brutalités » enfin dont furent tissées leur enfance et leur adolescence, tout ceci devant aboutir à faire retirer à Henri la garde de Fernand. La manoeuvre va réussir lorsque le garçon, buté et muet jusque-là, réagit violemment : il y a longtemps qu'il savait n'être pas le fils d'Henri, mais « le véritable père, n'est-ce pas celui qui vous donne de la soupe et met des chaussures aux pieds ? » Il l'aime, il l'admire et c'est avec lui qu'il veut vivre et travailler ! Le juge comprend et les rend l'un à l'autre.

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    CATEGORIE

    RANG

    NOMBRE

    SALLES

    ENTREES FRANCE

     

    3 410 000

     

    ENTREES PARIS

     

    820 801

     

    ENTREES PARIS EXCLUSIVITE

     

    262 863

     

    1ère semaine

    2

    59 004

    3

    2ème semaine

    3

    58 645

     

    3ème semaine

    2

    51 926

     

    4ème semaine

    2

    49 043

     

    5ème semaine

    2

    36 125

     

    Nombre de semaines Paris

     

    5

     

    Moyenne salles Paris 1ère sem

     

    19 668

     

    Cote du succès

     

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