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    BRANNIGAN

    (Brannigan)

    26 MARS 1975 (USA)

    30 JUILLET 1975

     

     

     

    Réalisation

    Douglas Hickox

    Scénario 

    Christopher TRUMBO

    Directeur de la photographie 

    Gerry FISHER

    Musique 

    Dominic FRONTIERE

    Production 

    Arthur GARDNER

    Michael WAYNE

    Distribution 

    Artistes Associés

    Durée 

    111 minutes

    Tournage 

    17 juin 1974 – août 1974

    Lt. Brannigan

    John WAYNE

    Cmdr. Swann

    Richard Attenborough

    Jennifer

    Judy Geeson

    Luana 

    Lesley-Anne Down 

     

    Jim BRANNIGAN, lieutenant de police à Chicago, est un homme brutal qui ne s'embarrasse pas de procédures légales. A la recherche de Ben LARKIN, un gros caïd du racket qui a disparu peu avant sa comparution devant le Grand Jury, il apprend que celui-ci à lancé un tueur à ses trousses.Larkin se trouvant à Londres, Brannigan s'y rend avec un mandat d'amener. Il est accueilli par le sergent Thatcher du Yard, une jeune femme chargée de le piloter le temps de son séjour. Brannigan n'a qu'une seule idée : retourner chez lui au plus vite avec son « colis ». Mais Sir Charles, officier du Yard, lui fait savoir qu'il devra attendre que la procédure d'extradition soit effectuée. Larkin, en liberté sous caution, est enlevé par deux hommes dans la salle de massage d'un club, au nez et à la barbe de son garde du corps et des policers chargés de le surveiller. Son avocat, Mel FIELDS, malgré les avertissements, informe la police qu'il a reçu une demande de rançon de 150 000 livres. Scotland Yard tend alors un piège uax ravisseurs lors de la remise de cette dernière, mais ceux-ci le déjouent et en guise de représaillent envoient un doigt de Larkin avec une demande de rançon supplémentaire de 350 000 livres. Dès lors, Brannigan, avec ou sans le Yard, mène l'enquête comme il l'entend, démêlant l'écheveau de l'énigme (qui a enlevé Larkin ?) poursuivant des suspects qui s'avèrent êtres toujours coupables, tout en échappant aux tentatives d'assassinat du tueur qui le suit comme son ombre.Bien sûr Brannigan déjoue l'imbroglio (Fields et Larkin étaient complices) : ce dernier aurait pu disparaître en Amérique du Sud avec une petite fortune se débarrasse du tueur en lui tirant quelques bastos dans le pare brise de sa voiture. Il reste amis avec les gens du Yard malgré leurs différences.

     

    Après « Un silencieux au bout du canon » John WAYNE poursuit dans sa volonté de produire des « Dirty Harry like ». Réalisé par Douglas HICKOX qui réalisera en 1979 un fameux « Zoulou », le film présente un John WAYNE ricain pur sucre qui va réaliser une enquête dans un Londres « so British » où les situations les plus savoureuses du film viendront du fait que les propos de John WAYNE doivent être traduits à ses homologues anglais en particulier à un Richard ATTENBOROUGH des plus excellent, comme d'habitude. Comme les méthodes de Brannigan sont plus celles d'un cow-boy qu'autre chose, le filma un petit air de « Un shérif à New York » avec Clint Eastwood et également à la série télévisée « Amicalement vôtre » où l'antagonisme amical entre un américain et un Lord anglais fait merveille. Cependant tout n'est pas drôle dans ce film au scénario poussif et où John WAYNE fait un peu son âge. Du reste on se demande comment le méchant à la fin du film n'écrase pas Brannigan avec sa voiture. Il se laisse gentiment plomber la tête en restant en pure ligne droite dans le viseur de Brannigan droit comme un I. Il reste également une jolie photographie du film qui fait la part belle à un Londres des années 70. Le film est sympa pour un samedi soir sur RTL9 mais ressemble plus à un épisode de série télévisée des années 70 qu'autre chose. Cela sent la fin pour John WAYNE au box office et il sera temps de baisser les armes. Le film reçoit un accueil tiède. EN FRANCE, dans ses années 70, le film passe totalement inaperçu et offre un score indécent pour le DUKE, un des plus bas de son histoire…

     

    CATEGORIE

    RANG

    NOMBRE

    SALLES

    ENTREES FRANCE

      

    170 000 (est)

      

    ENTREES PARIS

      

    22 112

      

      

      

      

      

    1ère semaine

    6

    14 889

      

    Nombre de semaines Paris

      

    2

      

    Moyenne salles Paris 1ère sem

      

      

      

    1er jour Paris

      

      

      

    Budget

      

      

      

    Recettes US

      

      

      

    Recettes Mondiales

      

      

      

    Box office annuel FRANCE

      

      

      

    Box office annuel USA

      

      

      

    Box office annuel Allemagne

      

      

      

    Box office annuel Espagne

      

    669 217

      

    Box office annuel Italie

      

      

      

    Box office UK

      

      

      

    Box office Europe

      

      

      

    Cote du succès

      

    0

      

     


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